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Le travail des enfants: un combat noble, des résultats tangibles à amplifier et à conforter! #Dominique Ouattara


Le travail des enfants perpétue le cercle vicieux de la pauvreté et empêche les enfants d’acquérir les compétences et l’éducation nécessaires pour améliorer leur avenir. Et pourtant l’éducation est un droit fondamental de chaque enfant. Elle est essentielle à son développement, lui permettant de cultiver ses talents créatifs et sa réflexion critique, d’acquérir des aptitudes personnelles et sociales, de nouer des amitiés et de développer des relations sociales ainsi que de grandir dans la dignité, la confiance et l’estime de soi en tant qu’individu. L’éducation recèle un potentiel inégalable pour le développement et l’épanouissement  de l’enfant.

Action contre le travail des enfants: un combat noble, des résultats tangibles à amplifier et à conforter ! #CIV

DOChaque jour, des enfants sont achetés, vendus, emmenés loin de chez eux. La traite des êtres humains est un commerce en pleine expansion, qui se chiffre en milliards de dollars. La traite des enfants est illégale. Elle est aussi extrêmement néfaste, car les enfants qui en sont victimes sont en butte à des sévices corporels et à l’exploitation sexuelle et autres. Il est difficile de se procurer des données précises sur la traite des enfants parce qu’il s’agit d’une activité criminelle et le législateur et les fonctionnaires ont souvent de la peine à reconnaître l’étendue du problème et à l’affronter.

L’Afrique est le continent le plus touché par le travail des enfants. L’impact de cette pratique dépasse largement le cadre de l’enfance; il rejaillit également sur les économies nationales et se traduit par des baisses de compétitivité, de productivité et de revenus potentiels. Retirer les enfants du monde du travail, leur assurer l’accès à l’éducation et apporter à leurs familles un soutien sous forme de formation professionnelle ou d’opportunités d’emploi, sont autant de facteurs contribuant au travail décent pour les adultes.

En effet, le combat des révoltés contre les injustices est toujours d’actualité et pour combattre le travail des enfants et développer l’éducation afin d’améliorer leur employabilité notamment, des structures étatiques à travers le monde, des ONG, des fondations et des personnalités ressources renforcent leurs capacités de mobilisation et d’action sur ce thème. Et madame Dominique OUATTARA est l’une des figures sacrées de la lutte contre ce fléau en Côte d’Ivoire. Engagée depuis 1980 pour le bien-être des enfants, la Première Dame de Côte d’Ivoire a fortifié sa vocation en créant la Fondation Children Of Africa en 1998, une gigantesque machine de réparation sociale des enfants désorientés, des femmes fragilisées et des familles précarisées.

À l’instar de bon nombre de Pays dans le monde, la Côte d’Ivoire est confrontée à ce problème depuis plusieurs décennies. C’est pourquoi, dès son accession à la magistrature suprême, le Président Alassane OUATTARA, ayant pris connaissance de l’ampleur du problème du travail des enfants, a fait de la lutte contre ce fléau, une priorité nationale, en créant par décrets le Comité Interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CIM) et le Comité National de Surveillance (CNS).

C’est en sa qualité de Présidente du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS), fonction occupée de façon bénévole,  que Madame OUATTARA a été invitée à participer à la réunion du Groupe de Coordination des actions de lutte contre le travail des enfants dans la cacaoculture, au Ministère américain du travail dans la dernière dizaine du mois de juin 2015 à Washington afin de partager l’expérience de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre ce phénomène.

En marge de la réunion annuelle du Groupe de Coordination des Actions de Lutte contre le Travail des Enfants, la Fondation Mondiale du Cacao (WCF) a offert le jeudi 25 juin, un dîner en l’honneur de Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de Côte d’Ivoire et Présidente du Comité National de Surveillance des Actions de lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants (CNS). Et elle a été reçue, entre autres, le jeudi 25 juin 2015, en début d’après-midi au Congrès américain par l’honorable Eliot Engel et l’honorable Karen Bass. Partout, le constat des experts des institutions américaines et des multinationales est clair: la Côte d’Ivoire a fait un pas de géant dans la lutte contre le travail des enfants. Ce mérite à mi-parcours est à saluer, même si les défis restent grands et que les actions doivent s’amplifier.

Madame Dominique OUATTARA est une camusienne, c’est-à-dire un être constamment en résistance contre les fléaux de notre société, particulièrement ceux qui minent les enfants, les femmes et les familles.

L’écriture de Camus est bouleversante, particulièrement celle imprimée dans « Les Justes« . « Les Justes » est une pièce de théâtre en 5 actes écrite par Albert Camus et qui fut représentée pour la première fois au Théâtre Hébertot le 15 décembre 1949 dans une mise en scène de Paul Œttly. Son engagement et sa révolte, sa qualité d’ « homme révolté » comme il l’a écrit et décliné bouleversent profondément. Il n’est pas si fréquent de rencontrer un auteur qui met l’engagement au coeur de son oeuvre. Avant de lire « Les Justes », je ne connaissais pas suffisamment Camus : j’avais seulement lu « L’Etranger » au lycée comme beaucoup d’entre nous, puis « La Peste » qui a rencontré un franc succès public. J’ai lu « Les Justes » par hasard et c’est l’une des rares oeuvres dramatiques de Camus (elles sont quatre en tout).DOMINIQUE

De Camus on peut tirer une forme d’empathie, voire de sympathie pour la vie et autrui. La dédicace de la pièce est d’ailleurs une citation de Roméo et Juliette qui parle d’amour. Camus montre, par le biais de cette citation, son attachement pour ses personnages, pour leur juste cause, leur « juste révolte ». Il commence à songer à écrire la pièce en 1947, au sortir de la Seconde guerre mondiale, durant laquelle il a été le rédacteur en chef de « Combat », l’un des deux grands journaux de l’époque. Les Justes sont la figure métaphorique du combat résistant face aux laideurs du monde: la tyrannie, les exploitations, les injustices sociales…, ce qui explique le véritable amour de l’auteur pour l’humanité.

Dans cette pièce de Camus, il n’y a pas de justification du crime. Il n’y a pas de justification du terrorisme sous toutes ses formes: terrorisme social, terrorisme religieux, terrorisme politique, terrorisme éducatif, terrorisme sentimental et familial. Les personnages sont seulement des êtres révoltés contre la souffrance et l’oppression. Camus parle de justice, pas de terrorisme. Pas du terrorisme aveugle d’aujourd’hui. Au coeur de la pièce, il y a une problématique résistante, il faut être très ferme là-dessus. Résistance contre les maux de notre temps. C’est une oeuvre très complexe et c’est en la travaillant longuement qu’on comprend que Camus voulait donner la parole à ceux qui ne l’ont jamais. La pièce est intemporelle : car les êtres révoltés, ceux à qui on ne donne jamais la parole, traversent les époques.

Le sens profond de la pièce de Camus, c’est que les personnages n’ont pas perdu, n’ont pas réussi. Ils font le choix de se tenir dignes et fiers dans ce juste combat de la vie qu’ils ont mené et que d’autres mèneront ailleurs. Ils montrent la direction et, le faisant, ils deviennent les pionniers des bons combats pour une société heureuse. Telle est la vie de Madame OUATTARA: montrer la direction qui conduit au bien-être des femmes, des familles et à l’épanouissement des enfants.

Des centaines de millions de garçons et de filles à travers le monde sont astreints à des travaux en violation de leurs droits fondamentaux à la liberté, à la santé, aux loisirs et à l’éducation. De tous ces enfants, plus de la moitié sont exposés aux pires formes de travail des enfants comme travailler dans un environnement dangereux, comme esclaves ou autres formes de travail forcé dans des plantations et ailleurs, dans des activités illicites comme le trafic de drogue, la prostitution ou les conflits armés.

L’Organisation internationale du Travail (OIT) a lancé la première Journée mondiale contre le travail des enfants en 2002 pour mettre en lumière le calvaire de ces enfants. L’objectif de cette journée est de servir de catalyseur au mouvement mondial contre le travail des enfants, en pleine expansion comme le démontre le nombre important de ratifications des conventions n° 182 de l’OIT sur les pires formes de travail des enfants et n° 132 sur l’âge minimum à l’emploi. La Journée mondiale contre le travail des enfants offre l’opportunité d’obtenir des aides supplémentaires de la part des gouvernements et des partenaires sociaux de l’OIT, la société civile et autres institutions, dont les écoles, les groupes de femmes, de jeunes ou les médias pour la campagne contre le travail des enfants.

Des différences considérables existent dans le genre de travaux que doivent exécuter les enfants. Certains sont lourds de conséquences, difficiles et harassants, d’autres beaucoup plus dangereux, voire moralement répréhensibles. Les enfants sont contraints d’effectuer toutes sortes de travaux dans une large gamme de tâches et d’activités. Toutes les tâches exécutées par les enfants ou les adolescents ne tombent pas forcément sous la dénomination de travail des enfants qui lui doit être éliminé. Les tâches qui se limitent à aider les parents à la maison, dans l’entreprise familiale sous certaines conditions, gagner un peu d’argent de poche en dehors des heures de cours ou pendant les vacances scolaires ne sont pas considérées en tant que telles comme des tâches relevant du travail des enfants.

Par contre, le concept « travail des enfants » regroupe l’ensemble des activités qui privent les enfants de leur enfance, de leur potentiel et de leur dignité, et nuisent à leur scolarité, santé, développement physique et mental. Il fait référence à des travaux dangereux pour la santé et le développement physique, social ou mental des enfants; qui compromettent leur éducation en les privant de toute scolarisation, en les contraignant à abandonner prématurément l’école et en les obligeant à accumuler des activités scolaires et professionnelles excessivement longues et trop pénibles pour eux. Dans ses formes les plus extrêmes, le travail des enfants concerne les enfants réduits en esclavage, séparés de leur famille, exposés à des risques et des maladies graves, et/ou livrés à eux-mêmes dans les rues des grandes agglomérations, souvent dès leur plus jeune âge. Que cette forme particulière de travail rentre ou non dans la dénomination «travail des enfants» dépend de l’âge de l’enfant, la nature des travaux exécutés, les conditions dans lesquelles ils s’exercent et les objectifs poursuivis par chaque pays. La réponse varie donc d’un pays à l’autre et d’un secteur économique à l’autre.

Selon les estimations mondiales de l’OIT (Organisation Internationale du Travail) de 2012, la distribution du travail des enfants par branche d’activité économique est la suivante : le secteur de l’agriculture comprends les activités dans l’agriculture, la chasse, la sylviculture et la pêche…= 58,6%. Le secteur de l’industrie comprends les mines et carrières, la manufacture, la construction, et les services publics (électricité, gaz et eau)…= 25,4%. Le secteur des services comprends le commerce du gros et du détail; les restaurants et hôtels; le transport, stockage et communications; les finances, l’assurance; les services immobiliers, aux entreprises et aux communautés; ainsi que les services sociaux aux personnes. Les pires formes du travail des enfants…= 7.2%.

DOMINIQUE OUATTARAAlors que le travail des enfants prend de nombreuses formes différentes, la priorité est donnée à l’élimination immédiate des pires formes de travail des enfants, telles que définies par l’article 3 de la convention nº 182 de l’OIT: toutes les formes d’esclavage ou pratiques analogues, telles que la vente et la traite des enfants, la servitude pour dettes et le servage ainsi que le travail forcé ou obligatoire, y compris le recrutement forcé ou obligatoire des enfants en vue de leur utilisation dans des conflits armés; l’utilisation, le recrutement ou l’offre d’un enfant à des fins de prostitution, de production de matériel pornographique ou de spectacles pornographiques; l’utilisation, le recrutement ou l’offre d’un enfant aux fins d’activités illicites, notamment pour la production et le trafic de stupéfiants, tels que les définissent les conventions internationales pertinentes; les travaux qui, par leur nature ou les conditions dans lesquelles ils s’exercent, sont susceptibles de nuire à la santé, à la sécurité ou à la moralité de l’enfant.

 Le travail qui met en danger le développement physique, mental ou bien-être moral de l’enfant, soit par sa nature ou par les conditions dans lesquelles il est effectué, est dénommé «travail dangereux».

L’une des clauses les plus importantes de l’Agenda sur le travail décent de l’OIT est constituée par les activités menées par l’IPEC pour lutter contre le travail des enfants. Le Programme international pour l’élimination du travail des enfants (IPEC) de l’OIT a été créé en 1992 avec comme objectif global l’élimination progressive du travail des enfants par le biais du renforcement des capacités des pays à s’attaquer au problème et la promotion d’un mouvement mondial de lutte contre le travail des enfants. L’IPEC est opérationnel dans 88 pays avec un budget annuel consacré aux projets de coopération technique qui dépassait les 61 millions de dollars pour 2008. L’IPEC est le plus important programme en son genre dans le monde et le plus gros programme opérationnel de l’OIT.

L’objectif de l’IPEC est l’élimination progressive du travail des enfants dans le monde, avec comme priorité urgente les pires formes de travail, à travers la promotion de programmes nationaux de réforme des politiques, le renforcement des capacités institutionnelles, la mise en place de mesures concrètes d’élimination du travail des enfants ; des campagnes de sensibilisation, de mobilisation visant le changement d’attitude sociale, la promotion de la ratification et la mise en œuvre effective des conventions de l’OIT. Ces efforts ont conduits au retrait de centaines de milliers d’enfant du travail, à des mesures de réhabilitation et de prévention au retour au monde du travail. En complément à ces actions directes menées de toutes parts, de substantielles recherches statistiques et qualitatives, des analyses juridiques et politiques, des programmes de suivi et d’évaluation ont permis d’accumuler une vaste base de connaissances en matière de données statistiques, de méthodologies, d’études thématiques, de bonnes pratiques, de matériels de formation et de guides divers.

Aujourd’hui, ce sont plus d’un million cinq cent mille enfants qui sont impliqués dans les travaux à abolir en Côte d’Ivoire. Face à ce problème, l’Etat ivoirien a pris de nombreuses initiatives parmi lesquelles il convient de citer le renforcement du cadre juridique de la lutte contre le travail des enfants par l’adoption d’une loi interdisant la traite et les pires formes de travail des enfants, la ratification des conventions de l’OIT sur l’âge minimum d’admission à l’emploi et celle relative aux pires formes de travail des enfants. En accord avec l’article 5 de la convention 182 de l’OIT, la Côte d’Ivoire a entrepris, dès 2011, un processus de mise en œuvre d’un Système d’Observation et de Suivi du Travail des Enfants.

Informer et améliorer les connaissances des acteurs nationaux de lutte contre les pires formes de travail des enfants sur le Système d’Observation et de Suivi du Travail des Enfants en Côte d’Ivoire (SOSTECI), un instrument de lutte contre les pires formes de travail des enfants (PFTE), est l’une des actions du CNS. Le SOSTECI apparaît comme le moyen par excellence qui permet aux acteurs d’apporter une réponse pérenne au phénomène du travail des enfants. En effet, face à la lancinante question du travail des enfants, le Système de Suivi du Travail des Enfants (SSTE), reste un puissant moyen pour les Etats et les Entreprises concernés par ce phénomène, d’établir des procédures transparentes et efficaces pour contrôler et éliminer le travail des enfants dans leurs différentes chaînes de production et d’approvisionnement. Pour notre pays, la Côte d’Ivoire, qui depuis plus d’une dizaine d’année est indexé sur la scène internationale comme un pays utilisateur de la main-d’œuvre enfantine dans la production du cacao, le SOSTECI est le mécanisme national de riposte qui permet à travers une approche participative et intégrée, d’apporter une réponse holistique appropriée et pérenne à la problématique du travail des enfants. Pour remédier à ce phénomène, les acteurs doivent s’approprier ce système d’observation afin d’accélérer le processus pour un passage à l’échelle nationale. Et cet objectif, nous ne pourrons le réaliser sans une conjugaison intelligente de nos ressources et de nos efforts.

Réaffirmons notre attachement aux instruments juridiques internationaux et régionaux pertinents énumérés ci-après dans l’intérêt de nos enfants 

– La Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) ; – La Convention des Nations Unies sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (1979) ; – La Déclaration et le Programme d’action de Beijing (1995) ; – La Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (1989) ; – La Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée et son Protocole visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants (2000) ; – La Déclaration du Sommet mondial pour les enfants (1990) ; – La Convention de l’OIT sur les pires formes du travail des enfants (1999) ; – Un monde digne des enfants – Session extraordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies consacrée aux enfants (2002). Prenons dûment en considération: – L’Acte constitutif de l’Union africaine (2002) ; – La Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (1981) et son protocole relatif aux droits des femmes (2002) ; – La Charte africaine des droits et du bien être de l’enfant (1990) ; – La Position africaine commune sur les enfants (Déclaration et Plan d’action 2001) ; – La position africaine commune sur la migration et le développement (2006) ; – La Déclaration de Bruxelles sur la prévention et la lutte contre la traite des êtres humains (2002).

En tant que citoyens , nous pouvons tous lutter et agir préventivement contre la traite des enfants dans nos pays et dans le monde et ainsi changer le cours des choses. Grâce aux efforts déployés dans le monde pour mettre fin à la traite des enfants, des progrès importants ont été réalisés. Une convention internationale a défini le crime de traite et prévu des mesures légales pour y mettre fin; des pays, du monde développé comme du monde en développement, ont adopté une législation complète à ce sujet; l’application d’accords multilatéraux a favorisé une meilleure coordination entre les pays et à l’échelle internationale. Et des enfants eux-mêmes se sont exprimés sur les dommages causés par la traite et le besoin de protection. Mais il y a encore énormément à faire pour en finir vraiment avec la traite des enfants. Que tous les citoyens prennent des initiatives un peu partout dans le monde, pour libérer les enfants de ce fléau.

Nos enfants méritent que nous fassions de notre mieux. Chers concitoyens, nous avons le pouvoir qui leur manque. Nous pouvons changer durablement la vie des enfants pris au piège de la traite en Côte d’Ivoire et un peu partout dans le monde. Je suis convaincu que tous ensemble, les ivoiriens pourront apporter une contribution majeure à la sensibilisation et aux importantes initiatives déjà lancées par le CNS piloté par Madame OUATTARA et les structures ministérielles pour combattre le travail des enfants et prévenir ses pires formes. Prenons cet engagement républicain pour assurer la bonne pérennité de la société. Car, comme le disait William Wordsworth, poète anglais :

« l’enfant est le père de l’Homme ». L’enfant est l’avenir de la nation dans laquelle il se trouve.

Docteur Pascal ROY

PhilosopheJuristePolitisteCoach politiqueAnalyste des Institutions, expert des droits de l’Homme et des situations de crisesMédiateur dans les OrganisationsEnseignant à l’UniversitéConsultant en RHÉcrivain

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