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Affaire Assalé Tiémoko- Président de l’UNJCI/ Traoré Moussa reçoit le réconfort de l’UJYOP


La rencontre s’est tenue en présence du Gérant de l’Expression, Sangaré Seydou (Ph : Dr)

La rencontre s’est tenue en présence du Gérant de l’Expression, Sangaré Seydou (Ph : Dr)

Le président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), « en congé », Traoré Moussa a reçu une visite de soutien de l’Union des Journalistes de Yopougon (UNJYOP) dans les locaux du journal L’Expression sis à Angré, mercredi 29 janvier 2014.

Après la déclaration des organisations professionnelles du secteur des médias, celle du Forum des Directeur de Publication de Côte d’Ivoire (FORDP-CI), c’était au tour de l’Union des Journalistes de Yopougon (UNJYOP) d’apporter son soutien et réconfort à Traoré Moussa, mercredi 29 janvier 2014, au siège du journal L’Expression sis à Angré. Face à ce soutien de taille Traoré Moussa n’est pas allé de mains mortes.  « Si le mensonge n’a jamais triomphé de la vérité, je serai blanchi « , a-t-il indiqué. Maurice Konan Kouassi, président de l’Ujyop, par ailleurs Secrétaire de la rédaction du quotidien ‘‘Le Temps’’, a affirmé que son organisation ne pouvait pas rester les bras croisés devant l’épreuve que traversait Moussa Traoré.  Il a plaidé afin que le Conseil national de la presse (Cnp) fasse preuve de clémence.  » Le Cnp doit privilégier la voie du dialogue pour la sauvegarde de l’image de la corporation et la survie des journaux. Nous ne voulons pas rentrer dans la polémique car, ce n’est pas l’Ujyop qui a conduit l’enquête dans cette affaire. Mais nous disons que  prendre une décision de retrait de la carte de journaliste professionnel à un confrère, c’est l’empêcher de faire son métier », a-t-il soutenu. Le Secrétaire général du quotidien L’Expression, Tibet Kipré, la Directrice de publication, Touré Yelly et le gérant Sangaré Seydou ont salué la démarche des journalistes de l’Ujyop. « Vous êtes porteur d’un message fort à l’endroit de Moussa Traoré », ont-ils soutenu. Comme on le voit l’adage qui dit : c’est dans le malheur qu’on reconnaît ses vrais amis prend tout son sens.
                                       Sériba Koné

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