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#Gastronmie France-La Côte d’Ivoire à l’honneur


France, le 2-6-15 (lepointsur.com)-La gastronomie ivoirienne a été honorée les 30 et 31 mai 2015, à Fontaney-sous-bois en France, commune située à environ 5 km de Paris. C’était dans le cadre de son traditionnel festival dit de « Mandelon », ouvert à la population française dénommé « Le village de la Solidarité ». Un espace de distraction et de gastronomie, où des associations du monde entier présentent les atouts gastronomiques de leur pays d’origine.

#France-« Le village de la Solidarité »/ Un pôle de la gastronomie mondiale

 

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Une vue du stand de la Côte d’Ivoire (Ph:B.B)

La Côte d’Ivoire y était représentée par l’Association Awalé. « Alloco, choukouya, poulet brasé, poisson grillé, riz gras et galettes » étaient entre autres au menu des mets proposés aux visiteurs par cette association qui mène des actions humanitaires, sociale, culturelles pour aider au développement du village d’Andokoi dans la région d’Adzopé.  Le maire de la commune de Fontenay,  Jean François Voguet qui a visité avec toute sa municipalité le stand ivoirien a félicité l’association ivoirienne pour l’honneur fait à sa commune et a salué sa vision sociale.

Selon Aline Mambo, présidente de l’association awalé, « cette participation a été un véritable honneur pour la Côte d’Ivoire », vu l’affluence enrégistrée à son stand, répond à la mise en œuvre de son projet de construction d’un dispensaire dans le village d’Adokoi, sous-préfecture d’Assikoi,  dont la première pierre a été posée en août 2014.

 « Je me réjoui de l’affluence enregistrée par notre stand. C’est un honneur à la gastronomie ivoirienne, mais au-delà, à toute la Côte d’Ivoire. C’est avec fierté que nous avons assisté plus d’un millier de festivalier acheter nos mets et parler pour certains de leur amour pour la cuisine ivoirienne » a indiqué la présidente de l’association Awalé qui a précisé que les fonds recueillis à ce festival serviront pour la construction du dispensaire du village d’Andokoi.

« Evidemment, la construction d’un dispensaire demande beaucoup plus d’argent que les recettes du jour, c’est pourquoi nous nous battons partout ou nous pouvons pour que ce dispensaire dont nous  avons posé la première pierre voit le jour » a-t-elle conclu, non sans  lancer  un appel  à toute les bonnes volontés et aux autorités ivoiriennes afin qu’elles s’impliquent davantage  pour  l’aboutissement de ce projet.

De notre correspondant en France Blaise Bonsié

 

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