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LA BOÎTE DE PANDORE ET LA CHAMPION’S LEAGUE


On se rend aujourd’hui en Europe puisque Bolloré nous permet de voyager, de nous rendre sur tous les stades européens.

Lorsque le 8 mars 2017, Lionel Messi et ses amis Neymar et autres Suarez marquaient le 6e but dans les dernières secondes,contre le Paris Saint Germain, ils étaient loin de s’imaginer qu’ils venaient d’ouvrir la boîte de pandore, et provoquer le courroux des dieux du football.

Depuis cette inattendue élimination du Paris SG qui avait malmené le Barcelone Fc sur un score sans appel de 4 buts à zéro, à l’aller, les dieux du foot s’acharnent sur ceux qui ont réussi ce qu’on a appelé la remontada.

Messi, le meilleur joueur du monde, a subi la remontada l’an passé sur le terrain de l’as Roma (3-0). Cette année encore, après un score de 3-0 au Camp nou, Messi a subi une autre remontada à Liverpool.

L’autre club anglais Totthenam a suivi les traces de Liverpool pour aller éliminer grâce à cette remontada la sympathique équipe de l’Ajax au football chatoyant.

Quant à Neymar qui pensait fuir Barcelone pour échapper à la colère des dieux, sa sanction est plus pitoyable : la veille des 8e de finale, il se blesse au même pied.

Messi et les siens ont ouvert la boîte de pandore et elle n’est pas près de se refermer.Attention à tous ceux qui, aujourd’hui, comme hier Barcelone savourent la remontada. Retenez cette morale de mon livre de CE1: « ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu’on vous fît.

 » Ce «  f î t » subjonctif imparfait, c’est bien des années après que j’ai su qu’avant, quand il y a dans la proposition principale un verbe de souhait ou volonté au conditionnel ou au passé, on utilise dans la subordonnée, le subjonctif. (Concordance de temps). Si j’avais demandé à Badolo Raphaël, mon maître, il m’aurait envoyé paître.

Une contribution de Pascal KOUASSI

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