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Elections présidentielles : Le GEPCI et l’OLPED s’engagent au monitoring de la presse écrite


Eugène Kadet, Directeur Général du journal de l’Economie : « Les chiffres ont évolué, démontrant une nette avancée des choses. Nous ne dénombrons que 57 manquements pour cette première vague de monitoring qui a pris en compte 10 journaux des 25 signataires; tandis qu’il avait été recensé 59 fautes pour le compte d’un seul journal il y a quelques années. »

Eugène Kadet, Directeur Général du journal de l’Economie : « Les chiffres ont évolué, démontrant une nette avancée des choses. Nous ne dénombrons que 57 manquements pour cette première vague de monitoring qui a pris en compte 10 journaux des 25 signataires; tandis qu’il avait été recensé 59 fautes pour le compte d’un seul journal il y a quelques années. »

Abidjan 18/09/15 (lepointsur.com) – Le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (CEPCI) a animé une conférence de presse à son siège, aux 80 logements d’Adjamé le vendredi 18 septembre, pour convier les hommes politiques et les médias à plus de retenue en cette période de précampagne présidentielle, en cours jusqu’au 9 Octobre 2015.

Le GEPCI met l’accent sur la sensibilisation

Ainsi, dans l’antichambre de l’élection au suffrage universel, prévu le 25 Octobre 2015, surtout voulue paisible donc, différente du drame qu’a connu la Côte d’Ivoire au scrutin de 2010, le GEPCI se dote d’une charte bientôt suivie et évaluée par l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED).

Trois points essentiels dominent ce travail, notamment le monitoring des propos des hommes politiques, suivi de celui des productions des journalistes et enfin, le monitoring des Unes des journaux.

« Pour le moment, pas de sanction car nous ne sommes qu’au stade d’interpellation. Il est ici plutôt question de sensibilisation » ; Amedé Assi, Directeur General des éditions APPO, se prononçant en sa qualité de Président du GEPCI sur le non-respect de ladite charte au niveau des hommes de médias.

Dennis Kah Zion, PDG des éditions Le Réveil : « L’OLPED est le gendarme de la presse »

Dennis Kah Zion, PDG des éditions Le Réveil : « L’OLPED est le gendarme de la presse »

Sur une courte fenêtre de temps, du 1er au 31 août 2015, bon nombre de maisons de presse ont violé de façon flagrante le code de déontologie et la Charte des Editeurs de presse. Des manquements portant atteinte à la cohésion sociale qui passent par le relai de violence verbale d’Hommes politiques tous aussi non excusables. Des fautes professionnelles qui ne sont autres que des violations de l’éthique et la déontologie de la profession de journaliste.

Kakou Nda

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