Préparation à la CAN 2015 : Ghana, Mali, Côte d’Ivoire… tous à Abou Dhabi !
Alors que le tirage au sort de la phase finale de la CAN 2015 (17 janvier-8 février) a eu lieu le 3 décembre au soir à Malabo (Guinée Équatoriale), les seize qualifiés ont pour la plupart bien avancé sur leur programme de préparation, et notamment l’endroit où ils effectueront leur stage. Et Abou Dhabi (Émirats arabes unis) sera un endroit particulièrement couru…
Alain Giresse, le sélectionneur du Sénégal, fignole la préparation de son équipe pour la CAN. Il s’est vu proposer Abou Dhabi (Émirats arabes unis), où plusieurs sélections ont déjà décidé de se préparer pour utiliser les terrains du très moderne Zayed Sport City. Il s’agit de la Côte d’Ivoire, du Mali et du Ghana, qui espèrent y jouer au moins deux matches amicaux.
Les Éléphants, les Aigles et les Black Stars pourraient aussi être rejoints par la Guinée Équatoriale, qui ne souhaite pas se préparer à la maison. Le pays organisateur envisage même de rester trois semaines dans l’émirat, et d’y disputer plusieurs matches amicaux. D’autres équipent envisagent aussi de changer de continent : le Cap-Vert devrait se rendre au Portugal, une destination qui pourrait également tenter le Gabon, même si celui-ci étudie la piste marocaine.
Tunisie-Algérie en amical le 10 ou le 11 janvier
Mais plusieurs sélections ne bougeront pas d’Afrique. L’Algérie restera au centre de Sidi Moussa, à une quarantaine de kilomètres d’Alger, un endroit qu’elle quittera pour aller affronter la Tunisie le 10 ou le 11 janvier à Monastir. Les Tunisiens, qui pourraient se préparer au Maroc ou au Portugal, disputeront d’autres matches amicaux, peut-être face au Maroc et au Rwanda.
Le Burkina Faso envisage d’effectuer un stage à Casablanca et la RDC à Yaoundé, alors que la Guinée devrait prendre ses quartiers à Libreville et le Congo à Saly (Sénégal), où il utilisera les installations des Diambars, avec un match amical au programme. Enfin, l’Afrique du Sud restera chez elle, alors que rien n’a encore filtré à propos du programme de la Zambie – qui pourrait s’exiler dans la Nation-Arc-en-ciel ou se préparer à la maison – ni de celle du Cameroun.
JeuneAfrique