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Avant la parution de ses journaux/ Le Dp de « Le Sursaut  » et  » Vendredi soir » (G. DE GNAMIEN) fait des précisions


Le Directeur de Publication de: « Le SURSAUT », et de l’hebdomadaire people « Vendredi Soir » (Ph: Dr)

Le Directeur de Publication de: « Le SURSAUT », et de l’hebdomadaire people « Vendredi Soir » (Ph: Dr)

Unknown Régie, société éditrice du quotidien « Le SURSAUT », et de l’hebdomadaire people « Vendredi Soir » met sur le marché de la presse son premier support : « Le SURSAUT », un journal de 12 pages paraissant du lundi à vendredi. Ce titre qui est annoncé en grande pompe sur les réseaux sociaux, depuis quelques semaines, parait dans les kiosques dès le mardi 14 octobre 2014. Dans cet entretien, son Directeur de publication, G. DE GNAMIEN, lève un coin du voile.  

 

Il y a plus d’une vingtaine de quotidiens sur la place. Qu’est-ce que « Le SURSAUT » apporte de nouveau aux Ivoiriens ?

Moi, je pense qu’il y a toujours de la place pour ceux qui font du bon travail et qui respectent le lectorat à qui on se doit de proposer autre chose qui tranche avec ce qui est donné de voir. Outre son engagement de faire parler en vue de donner la chance à tous de s’exprimer, « Le SURSAUT » entend participer à la réflexion sur les grands enjeux de l’Etat pour l’émergence d’un journalisme responsable et citoyen après la crise post-électorale. Par nos analyses, dossiers, enquêtes, nous voulons modestement aider notre pays à un changement notable. C’est-à-dire, une gouvernance saine, une élite qui pense à l’intérêt général avant l’intérêt personnel. Des partis politiques avec de réelles visions et des idéaux de développement.

Mais pourquoi cette appellation « Le SURSAUT », M. le Directeur de publication ?

Il faut commencer d’abord par définir la notion de sursaut. Selon le dictionnaire, ‘’c’est la réaction par laquelle on se ressaisit après une période d’abattement ou de renoncement, après avoir subi des événements pénibles’’.  Ceci dit, il faut rappeler que la Côte d’Ivoire sort d’une crise post-électorale particulièrement meurtrière avec, à la clef, 3000 morts. Au moment où tout apparait comme un pays à reconstruire, à commencer par la restauration de la sécurité, de l’Etat de droit, la mise en œuvre d’une armée républicaine, la relance économique, la conduite de la réconciliation nationale…, il nous parait plus que nécessaire d’en appeler à un sursaut national.

Peut-on connaitre la ligne éditoriale de votre quotidien ?

Nous nous inscrivons résolument au centre ; c’est-à-dire, un journal indépendant qui veut servir toutes les sensibilités politiques, économiques et sociales de notre pays avec  la particularité, comme je le disais plus haut, de faire parler pour donner la chance à tous de s’exprimer.  Quant à l’équipe rédactionnelle, elle  fait sienne cette maxime de Albert Londres, journaliste-écrivain français : «Je demeure convaincu  qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur (…) Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie ».

Source Sercom du Groupe de Presse Unknown Régie

 

 

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