Les autorités ont réprimé durement  ​​les islamistes depuis que Mohammed Morsi a été enlevé en Juillet

Un tribunal égyptien a condamné à mort 528 partisans du président islamiste déchu  Mohammed Morsi.

Ils ont été reconnus coupables des charges, y compris le meurtre d’un policier et attaques contre des personnes et des biens.

Le groupe est l’un des plus de 1200 partisans de M. Morsi sur procès, y compris les membres supérieurs de la Fraternité.

Les autorités ont réprimé durement  ​​les islamistes depuis que M. Morsi a été enlevé par l’armée en Juillet. Des centaines ont été tuées et des milliers arrêtées.

Ils devraient faire appel.

Le verdict va maintenant à l’autorité religieuse suprême de l’Egypte, le Grand Mufti (un érudit islamique ), pour l’approbation ou le rejet, dit Orla Guerin de BBC au Caire.

Les militants disent que tandis que les condamnations à mort sont souvent prononcées en Egypte, peu ont été réalisées au cours de ces dernières années.

La dernière séance du procès ne sera pas tenu jusqu’au 28 Avril. donc il ya du temps avant que la sentence soit confirmée et il y en aura  pour faire appel à cette période, ajoute notre correspondant.

Le porte-parole des Frères musulmans à Londres, Abdullah el-Haddad, a déclaré à la BBC les phrases ont montré que l’Egypte était maintenant une dictature.

« C’est peut-être juste un message de menace et il sera fait appel à la cour et la décision de la cour va changer, mais c’est la nouvelle Egypte après le coup d’Etat. C’est la nouvelle dictature que le [chef de l’armée et ministre de la Défense le maréchal] Abdul Fattah al-Sisi tente d’établir « .

M. Haddad a dit que le guide général des Frères musulmans Mohammed Badie a été parmi les personnes reconnues coupables, bien que d’autres rapports disent M. Badie est uniquement due au tribunal mardi.

In absentia

Le tribunal de Minya, au sud de la capitale, Le Caire, a rendu sa décision après seulement deux séances au cours desquelles les avocats des accusés ont affirmé qu’ils n’avaient aucune chance de présenter leur cas.

Les avocats ont accusé le président de « s’écarte de toutes les normes juridiques » et déni de justice à l’accusé, ajoute notre correspondant.

Ils ont été reconnus coupables, entre autres charges, de l’assassiner de l’adjoint du commandant de la station de police du district Matay à Minya.

Quelques 147 suspects étaient présentes au tribunal pour le procès – les autres ont été condamnés par contumace, disent les rapports.

Les attaques ont eu lieu en Août après que les forces de sécurité ont dispersé deux camps de partisans pro-Morsi au Caire, tuant des centaines. La cour a également acquitté 16 autres accusés.

personnes.

M. Mursi a été évincé par les militaires Juillet dernier à la suite de  protestations de la rue contre son gouvernement. Il fait face à quatre procès distincts

Il a depuis été une répression sévère  son groupe des Frères musulmans, ainsi que sur d’autres militants considérés comme hostiles au gouvernement intérimaire soutenu par l’armée.

La Fraternité a été déclaré organisation terroriste et les autorités ont puni tout spectacle public de soutien.

Un deuxième groupe de 700 partisans de Morsi est due à passer en jugement le mardi.

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