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Exclusif :Assassinat du Mannequin Awa Fadiga/ Son oncle maternel retrace le film des atrocités


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Bonjour à toutes et à tous !

Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Santé et de Lutte contre le Sida (Ph: Dr)

Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Santé et de Lutte contre le Sida (Ph: Dr)

Suite à l’assassinat du mannequin Awa Fadiga,  je me présente. Je suis Fadiga Mohamed, le petit-frère direct de la mère de la victime.

Je voulais vous expliquer les vrai faits qui tels que déroulés du lieu où Awa Fadiga est quittée jusqu’à sa mort au CHU de Cocody.

Elle a quitté son domicile à Macory, le dimanche 23 mars 2014, pour se rendre chez des amis qui habitent côte à côte, aux 2-Plateaux . A savoir Amy et Yacou vers le garage CFA. Arrivée chez Yacou elle est allée le trouver en train de faire de la lecture coranique. Etant chez lui elle envoie un texto a son amie Amy afin qu’elle puisse la rejoindre chez Yacou.

Mais , cette dernière n’ayant de crédit d’unité pour la répondre et aussi les moyens financiers pour se déplacer n’a pu répondre à l’attente de sa camarade. Séance tenante, Awa Fadiga demande la permission a Yacou de prier 4 raquâtes pour elle avant qu’elle ne se rendre chez la grande famille à Williamsville afin de les saluer et ensuite retournée à son domicile à Macory. Donc après la prière, elle demande à rentrer. Yacou l’accompagne jusqu’à en bordure de la route afin qu’elle emprunte un taxi. Elle arrête le taxi et Yacou lui demande d’attendre afin  qu’il lui dise quelque chose. En retour, elle lui répondra de laisser cela pour la prochaine rencontre. Vu qu’elle devrait rentrer à Marcory avant 22heures et que le temps pressait. A bord de ce taxi quittant les 2-Plateaux, il n’y avait à bord que le chauffeur et Awa. Arrivée au niveau de la l’arrêt de bus en face de la sortie du camp de la gendarmerie d’Agban, un passant qui a vu l’action se dérouler, affirme qu’il a vu le chauffeur et deux autres hommes avec Awa a l’arrière du taxi. Ils l’ont projeté de la voiture sans même rien emporter avec eux (ni le téléphone portable, ni son sac, ni son argent, encore moins ses pièce d’identité etc. Mais malheureusement, le passant dans la panique, n’a pas pu relevé le numéro de la plaque d’immatriculation du taxi car le véhicule roulait à toute vitesse et avait allumée ses feux de détresse. C’est ainsi, qu’il a couru pour secourir feu Fadiga Awa qui était dans un état très critiques. Il a prit le portable d’Awa qui était éteint, le rallume mais, il fallait un code d’accès. Il reste aux cotés de Awa et appel la gendarmerie de son propre téléphone. Et la gendarmerie arrive sur les lieux vers 21h40mn. La gendarmerie a son tour appel les sapeurs-pompiers qui la transporte aux urgences au CHU de COCODY. A son arrivée, aux urgences au environ de 22h40 mn elle n’a reçu aucun soin de la part des docteurs sous prétexte que la famille n’était pas présente. Ils l’ont laissé couchée à même le sol même pas un petit brancard pour la soutenir. C’est dans cette situation pitoyable  qu’une femme, balayeuse à eu un sentiment de pitié pour elle. Elle arrêta de balayer et se dit : « je dois l’aider car, ma fille peut être dans ce genre de condition, un jour on ne sait jamais« . Elle prit Awa et lui enleva tous les vêtements salent qu’elle portait et la nettoie. Elle lui fait porter un petit collant qu’elle avait emporté sur elle et demande au docteur de mettre la jeune Awa sur un brancard avant que la famille ne soit au courant qu’elle est au CHU. Les médecins ne donnent aucune importance a ce que dit la gentille balayeuse. C’est le lendemain lundi vers 12h30mn que la gendarmerie informe la famille que Awa est au CHU de COCODY dans un état très critique.  Sans tarder, la famille s’y rend immédiatement et constate Awa sans soin médical couché à même le sol avec le collant que la gentille balayeuse lui avait fait porter. Les premiers soins ont commencé lorsque les médecins ont vu la famille de Awa est arrivée. C’était au tour de 13h. Ce n’est qu’après la balayeuse avec un air froid nous dit ( famille) qu’après l’avoir nettoyer que celle venait de nettoyer lui a dit qu’elle se prénommait Awa et elle m’a remercier pour l’acte que je venais de poser. C’est bien la balayeuse qui a nettoyé Awa le dimanche vers 23h30 mn. Awa n’a pas eu de soin jusqu’au lendemain lundi à notre arrivée. Les premiers soins ne coûtaient que 12000 FCFA et ensuite, un protège-cou qui ne coûtait que 22000 FCFA et on nous demande d’emprunter le véhicule du pompier SAMU au prix de 25000 FCFA pour la location afin de se rendre dans un clinique hors du CHU pour simplement faire le scanneur qui ne coûtait que 50000 FCFA.  Vers 15h tous les frais ont été payés par la famille. Après le scanneur a été mis à l’état CHU au environ de 15h30mn.  Avec les résultats du scanneur Awa est transportée en sale de réanimation car, sa respiration devenait très difficile. C’est dans ces conditions que Awa est tombée dans un coma profond dans la nuit du lundi jusqu’à mardi matin à 7h30mn où elle rendit l’âme. Si on doit s’abstenir qu’à cela. Pouvez-vous croire que pour 109.000 FCFA elle avait droit de perdre la vie ?

CHU

S.V.P. arrêtez de dire des mensonges a la Télé et sur les réseaux sociaux, car cela n’arrive pas qu’aux autres. On a eux tous des parents qui sont victimes de ces actes de négligences dans les CHU. Voila j’ai que les larmes yeux pour pleurer ma défunte nièce adorée Mamiss que son âme repose en paix ! Merci à toutes et à tous. Voici la vrai version des faits que vous pouvez publier le SVP. Que Dieu nous aide !

Fadiga Mohamed, le petit-frère direct de la mère de la victime

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