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Chantal Fanny aux populations de Marina-Banangoro et Sokouraba : ‘’Faites de moi votre messager, je saurai porter vos voix au Parlement’’


CIV-lepointsur.com (Abidjan, le 16-12-2016) Pour le dernier jour de campagne, Moussokoura Chantal Fanny, candidate pour les législatives dans la circonscription électorale de Kaniasso-Minignan-Sokoro a choisi de s’entretenir avec les populations des localités de Marina, Sokoro, Karala, Banangoro et Sokouraba. « Faites de moi votre messager, je saurai porter vos voix au Parlement », a-t-elle sollicité.

Aux populations de Marina, dernier village de la Côte d’Ivoire, situé à une dizaine de kilomètres du Mali, elle a placé sa présence sous le sceau de la fraternité et du prolongement des liens tissés par son père Inza Fanny avec cette partie de la Côte d’Ivoire. « Je ne veux pas vous mentir en vous faisant des promesses, je voudrais juste être votre fille qui connait vos problèmes et qui saura les porter, en vue de mieux propulser le développement », a poursuivi Mme le Maire de la commune de Kaniasso.

A Banangoro, celle qui souhaite devenir député de la circonscription électorale de Kaniasso-Minignan-Sokoro a insisté sur l’union et l’entente des cadres du Folon, afin de glaner plus de développement dans cette région. « Je voudrais vous préciser qu’Abdoulaye Koné et moi ne sommes pas des ennemis », a mis fin aux rumeurs selon lesquelles elle serait à couteau tiré avec le député sortant.

Dans le village de Sokouraba, Moussokoura Chantal Fanny a été forcée de descendre pour esquisser des pas de danse avec les populations sorties nombreuses pour accorder un accueil chaleureux à celle qu’elles appellent affectueusement leur ‘’fille’’. « Je confie ma candidature à mes mamans, mes frères et sœurs et à mes papas », a-t-elle soutenu, avant de mettre le cap sur Kaniasso aux environs de 22 heures, pour clore sa campagne pour les législatives qu’elle avait lancée le samedi 10 décembre 2016 à Minignan. Là-bas, elle a invité les populations à aller voter dans la paix et éviter de céder à la provocation.

Idrissa Konaté, envoyé spécial dans le Folon  

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