25 ans après la disparition de Roger Fulgence Kassy, nous avons rencontré Tiburce Koffi, le Directeur général de l’Institut supérieur des arts et de l’action culturelle (Insaac). Il nous fait des confidences sur ses rapports avec Fulgence Kassy. Entretien.

M. le DG, en ce jour mémorable de l’anniversaire de la mort de Fulgence Kassy, pouvez-vous nous dire quelle était la nature de vos rapports ?

Fulgence Kassy et moi avions de bons rapports. Disons d’excellents rapports. Je dirai même qu’il était plus qu’un ami pour moi. J’avais une grande admiration pour l’amour avec lequel il faisait son travail. Et il faut le dire, il fut l’un des plus grands talentueux animateur de son époque. En somme, nous étions très proches.

En tant Directeur général de l’Insaac, avez-vous prévu quelque chose pour l’honorer et l’immortaliser?

C’est vrai que nous l’avons fait pour Ernesto Djédjé parce que c’est un artiste. Ce qui n’est pas le cas pour Fulgence Kassy. En principe c’est la Radio télévision ivoirienne (RTI) qui devait s’en occupait. Mais les beaux arts, je veux les étudiants de cette école s’attèlent à le faire. Oui, nous envisageons de faire une sculpture pour l’immortaliser.

25 ans après, peut-on dire que son héritage est resté intact ?

Pourquoi voulez-vous forcement que ses productions continuent de faire partie des programmes de la RTI ? La RTI peut les remplacer par d’autres. Et puis, il peut aussi avoir des réaménagements.

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