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[Médias/Décédé le 14 septembre dernier] Le journaliste Jacquelin Mintoh repose à jamais dans son village natal


Sangouiné, le 06-10-2023 (lepointsur.com) M. Dion Mintoh Jacquelin, ex-correspondant du quotidien Le Patriote (proche du parti au pouvoir, le RHDP), à Yamoussoukro, repose à jamais à Oulaï-Gbèpleu, son village natal, dans la Région du Tonkpi.

Le dernier voyage du désormais ex-journaliste Dion Jacquelin Mintho vers sa terre natale dans le Tonkpi

L’historique du mal pernicieux qui a eu raison de « NIKITA »

C’est de retour d’un reportage, un après-midi, que l’ex-confrère a annoncé à ses proches qu’il a été pénétré par un froid glacial qui finira par lui ballonner le ventre. Un mal pernicieux qui a finalement eu raison de « NIKITA » le 14 septembre dernier, à l’hôpital catholique St Joseph Moscati de Yamoussoukro, sous les regards hagards et impuissants de ses proches et de ses chers confrères en fonction dans le District Autonome de Yamoussoukro.

Gros plan sur le dernier voyage de « NIKITA » vers sa terre natale

Toutes les autorités administratives de Yamoussoukro présentent à cette occasion

L’émouvante cérémonie de la levée du corps du désormais ex-journaliste Dion Jacquelin Mintho a eu lieu dans l’après-midi du vendredi 29 septembre 2023, à la morgue du Chr de Yamoussoukro. A cette occasion, autorités administratives de Yamoussoukro, parents, amis et confrères s’étaient mobilisés comme un seul homme, les yeux graves pour les uns et, larmoyants pour les autres, tous plongés dans un calme collectif.

Après lui avoir présenté les derniers honneurs, sa dépouille mortelle a été conduite à sa résidence sise au quartier Dioulabougou (non loin de la grande mosquée) avant de mettre le cap, le même jour, sur Oulai-Glêpleu, son village natal situé dans la Sous-préfecture de Sangouiné (Région du Tonkpi), où il a été inhumé le samedi 30 septembre dernier.

Après avoir mené avec succès tous les combats pour l’émergence de sa chère Patrie, l’ex-confrère repose désormais, ici, enfin.

Les quelques 600 derniers kilomètres parcourus par l’ex-confrère jusqu’à sa dernière demeure étaient remplis de lourdeur, de tristesse et d’interrogations profondes sur les conditions de vie et de travail de tous les correspondants de presse du monde, d’Afrique et de Côte d’Ivoire en particulier, puis sur la destinée de l’homme sur terre. À Dieu, « NIKITA »….!

Laine Gonkanou, correspondant régional

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