Liaison Hollande-Gayet/ Valérie Trierweiler ne veut rien lâcher
Elle se disait « prête à pardonner » François Hollande pour son écart, Valérie Trierweiler souhaiterait désormais accompagner le président de la République lors de son voyage officiel aux Etats-Unis en février.
« Valérie Trierweiler est-elle toujours, aujourd’hui, première dame de France ? » Cette question, posée par Alain Barluet, président de l’association de la presse présidentielle, lors de la conférence de presse deFrançois Hollande mardi dernier, n’a toujours pas trouvé de réponse. Le 14 janvier, le chef de l’Etat reconnaissait « traverser des épreuves », qu’il s’agissait « de moments douloureux » mais souhaitait que « les affaires privées se traitent en privé, dans une intimité respectueuse de chacun » : « Ce n’est donc ni le lieu ni le moment de le faire, je ne répondrais à aucune question aujourd’hui sur ce sujet, avait-il expliqué. Je le ferai avant le rendez-vous que vous avez fixé. » En l’occurrence, le déplacement de François Hollande aux Etats-Unis, le 11 février, où il doit rencontrer le couple Obama.
Pour l’heure, François Hollande n’a pas encore tranché, au grand dam de ses conseillers. « François et Valérie, c’est stop ou encore ? Si c’est stop, elle doit quitter la Lanterne, payée par le contribuable. Et si elle reste première dame, qui croira encore à ce couple ?, se demande un proche du chef de l’Etat, d’après les propos rapportés par RTL. La meilleure option, c’est le célibat. »
Mais Valérie Trierweiler est déterminée à se battre pour sauver son couple.« Selon ses proches, elle est encore disposée à accompagner le Président » à Washington, croit savoir la station de radio. L’entourage de la première dame avait d’ailleurs indiqué la semaine dernière qu’elle« [semblait] prête à pardonner » : « Elle ne veut pas claquer la porte sur un coup de tête, mais elle veut savoir très vite quelles sont les intentions de François Hollande. »
Sortie samedi après-midi de la Pitié-Salpêtrière, où elle est restée hospitalisée huit jours, Valérie Trierweiler est partie se reposer à la Lanterne, l’une des résidences de la République. François Hollande l’y a retrouvée dimanche. Pas pour une mise au point, semble-t-il…
Serges Mignon (avec l’hebdo Français Voici)