La LIBERTE et la DEMOCRATIE en danger en UKRAINE.
Kiev, au bord de la guerre civile. Malgré la trève,KIEV est en état de guerre. Les affrontements auraient causé au moins 35 morts. Le palais qui habite le siège du gouvernement ukrainien a été évacué pour des raisons de sécurité. Les manifestants ont fait prisonnier une cinquantaine de policiers et les ont portés dans un bureau, un édifice, occupé près de la mairie les faisant passer à travers un couloir humain de démontrant anti-gouvernementaux. Tirs, fumée, explosions sont signalés au palais présidentiel. Entre temps, arrive de la RUSSIE, la nouvelle que la moitié de la délégation des athlètes ukrainiens, au moins 45,ont décidé d’abandonner les jeux d’hivers pour les violences et les morts des affrontements. KIEV, la rue et les places brûlent : Barricades et victimes. Le parlement évacué Le parlement, également évacué, avait suspendu les sessions au programme aujourd’hui et demain. La nouvelle a été rapportée par l’ex président, VOLODYMYR LYTVYN. Les groupes de manifestants ont réussi à forcer les cordons de sécurité et à accéder au centre de la ville où se trouvent les bâtiments du gouvernement, tandis qu’à la place de l’indépendance, des milliers de manifestants font le siège de la place et lancent des bombes Molotov et des pierres contre la police, qui répond par des grenades lacrymogènes. La BATAILLE-La fumée s’élève des barricade en flammes qui entourent les regroupements de protestations. Selon un comptage du journal « KIEV POST », les manifestants tués aujourd’hui au cours des protestations dans la capitale ukrainienne sont au moins 35.selon des sources locales, le bilan des morts est destiné à monter. La majorité des personnes est tombée sous les coups d’armes à feu de la police pendant que ces personnes cherchaient à franchir postes de barrage qui protègent les édifices gouvernementaux. La DIPLOMATIE AU TRAVAIL-Pendant que le palais Maidan brûle, on attendu la rencontre à KIEV entre IANUKOVICH, le président de la République de l’UKRAINE, et les ministres des affaires étrangères allemand, polonais et Français. Avant les entretiens, le ministre des affaires étrangères français, Mr Laurent FABIUS, a été clair : » Je dirai qu’il faut arrêter la violence, qui est évidemment inacceptable, et que nous nous apprêtons cet après- adopter les sanctions contre les responsables de la violence. A t-il dit à la radio française EUROPE 1. LES SANCTIONS :Il y’a quelques minutes de cela, FABIUS a expliqué sur son compte twitter que les sanctions concernent : »l’annulation des visa et la surveillance, en plus de gel des biens d’un certain nombre de responsables. » de KIEV. On devra attendre dans tous les cas la conclusion du sommet de l’après-midi à BRUXELLES pour savoir le prochain pas de l’UNION EUROPEENNE. L’OTAN Avec l’augmentation des violences, donc, la position du président devient, maintenant, plus délicate. A la lumière de la position de l’OTAN : » J’invite fortement le gouvernement UKRAINIEN à s’abstenir d’ultérieures violences. Si les militaires interviennent contre les manifestants, les liens avec l’OTAN seront sérieusement endommagés » a dit dans la nuit le Secrétaire Général de l’Alliance Atlantique, ANDERS FOGH RASMUSSEN. Malgré la trêve, KIEV est en état de guerre.
Traduit de l’Italien,du quotidien «Il CORRIERE DELLA SERA»(en Français,c’est LE COURRIER DU SOIR »), le plus prestigieux journal de l’Italie, Par DIARRASSOUBA Abdoul Khader Stéphane Directeur de Publication du quotidien en ligne « LE POINT SUR ».
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