COTE d’IVOIRE, Korhogo, Bouaké et Daloa, des éléments méprisés des forces de l’ordre en révolte.
Après la déclaration la déclaration du ministre Paul Koffi Koffi, les casernes sont en ébullition à Bouaké, deuxième ville de la Cote-d’Ivoire.Les mutins ont pris la RTI Bouaké en otage. Ils exigent que la RTI Bouaké transmette l’intégralité de leur communiqué, de leurs revendications. Et que ce communiqué soit lu avant 18h, au plus tard, sur les antennes de la première chaîne de télévision ivoirienne, sise à Abidjan. Les mutins ne se reconnaissent pas dans la déclaration lue par le ministre chargé de la défense, Mr Paul Koffi Koffi, au nom du Président de la République, SEM Alassane Ouattara.
Si cela n’était pas fait, les mutins décideront d’un couvre-feu sur toute l’étendue du territoire national.
Joint par téléphone, hospitalisé dans une clinique à Abidjan, le Directeur Général de la RTI –Bouaké, Mr Abou Traoré confirme l’information. Mais, étant malade et en clinique, il ne peut donner tous les détails au déroulement de ces évènements.
Nous apprenons, à au moment où nous écrivons ces lignes, que la villa du lieutemenant-Colonel Ouattara Zoua a été incendiée.
Nous apprenons qu’Abobo-Anador, Abidjan, il y’a déjà une première victime, un mort.
Le chef d’état-major, le Général Soumaila Bakayoko s’est réfugié chez le commandant BIG.
Par DAKS,
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