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[Côte d’Ivoire Développement] Pongovo, ce village du nord qui se développe dans l’anonymat


Abidjan, le 13-08-19 (lepointsur.com) Le directeur de la communication de la Première dame, Brahima Coulibaly, multiplie ses efforts depuis quelques années, pour donner un visage modèle et moderne à son village qui l’a vu naître dans le nord de la Côte d’Ivoire: Pongovo.

Pongovo jure par les réalisations sociales de Brahima Coulibaly

Aujourd’hui, les populations de Pongovo, village situé dans le nord de la Côte d’Ivoire (dans le district des Savanes et de la région du Poro, Korhogo) ne jurent que par le nom de l’un de leur digne fils : Brahima Coulibaly.

Grâce à ses relations, le directeur de la communication de Mme Dominique Ouattara ne ménage aucun effort pour sortir son village natal de la précarité. L’électrification de Pongovo, la construction d’un château d’eau, d’une école primaire, d’un centre de santé, d’une mosquée, d’une église, du siège d’une radio locale, le lotissement du village, la prise en charge des meilleurs élèves et étudiants de son village chaque année relèvent de ses principales œuvres.

Les œuvres sociales de Brahima Coulibaly ne se racontent pas, elles se vivent, elles et se contemplent. Le confrère, Fulbert Evan’s Koffi, l’un de ses invités à la fête de la Tabaski du 11 août 2016 n’est pas resté muet. « Ils sont nombreux ceux qui font de la politique ici, mais très peu à partager sincèrement ce qu’ils gagnent avec la population », indique-t-il sur sa page Facebook.

Bien avant, en février 2019 c’est un autre confrère (journaliste indépendant), Fernand Dédeh, qui racontait ce qu’il avait vu dans ce village et les efforts fournis par Brahima Coulibaly. « Il consacre toute son énergie, ses relations et ses moyens à son village. L’école primaire n’avait que trois classes, du CPI au CE1. Les enfants devraient poursuivre leurs cours ailleurs. Les parents n’ayant pas les moyens d’assumer les charges préféraient alors retirer les enfants de l’école et les utiliser comme main d’œuvre pour les travaux champêtres », constatait-il sur place.

Le don de soi

Les villageois n’ont rien à envier aux citadins pendant les fêtes

Toutes ces difficultés, grâce à Brahima Coulibaly, directeur de communication de la Première dame, sont un lointain souvenir. Grâce au concours et au soutien de ses amis, outre les trois classes, il y a une cantine scolaire qui offre l’occasion aux élèves de s’offrir deux repas par jour, dans un village où « le coup ko alimentaire » est là réglé. « Je ne suis pas le seul cadre de ce village, mais quand j’ai 1000 f, je le cherche à savoir combien investir. Les autres me disent : ‘’on verra bien le jour où Mme Ouattara ne sera plus au pouvoir. On verra ce qu’il va faire et ce qu’il va devenir’’», nous apprend le directeur de la communication de la première dame.

Brahima Coulibaly, alias le général Froufrou se définit comme un ‘’bossoniste’’, qui a un pied dans la tradition de sa région, et l’autre dans le modernisme.

On peut l’affirmer sans se tromper que l’instituteur devenu journaliste, puis aujourd’hui communicateur est sur les traces des personnalités comme N’zikan, Abdoulaye Diallo, Hamed Koffi Zarour, Zady Kessé, N’Zi Koffi Jean. Des personnes qui œuvrent dans l’anonymat au développement de leurs localités.

Loin des discours politiques et des meetings enflammés, Pongovo se modernise et sort peu à peu de la précarité, grâce à l’un de ses dignes fils : Brahima Coulibaly

Sériba Koné

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