Politique

Caravane du film « Ado, un cœur qui parle »: Camara Loukimane offre le film institutionnel aux populations du Bounkani


Abidjan, le 30-8-15 (lepointsur.com)-La 4ème étape de la caravane du film institutionnel « Ado, un cœur qui parle » a déposé ses valises, le samedi 29 août dernier au foyer des jeunes de Bouna. Et ce, après son franc succès à Dimbokro, Adiaké et à Grand –Bassam. En effet, ce film institutionnel de 26 mn qui relate les actes de bienfaisance que le Président Alassane Ouattara pose et continue de poser en faveur de la grande famille des arts et de la culture de Côte d’Ivoire a été projeté dans une salle archicomble en présence des autorités coutumières, religieuses et administratif du chef lieu de la région du Bounkani.A cette occasion, Coulibaly Seydou, secrétaire de la mairie de Bouna a soutenu que la mairie du Bouna est fière et honorée d’avoir abrité la 4ème édition du film « Ado, un cœur qui parle » qui parle des actions inqualifiables que le numéro un des Ivoiriens fait à l’endroit des artistes de Côte d’Ivoire. « Ce que le Président Alassane Ouattara fait pour les artistes est énorme.
Et nous sommes heureux de voir qu’en dehors du train de développement qu’il a amorcé, il fait des pieds et des mains pour sortir les artistes dans l’ornière », soutient-il. A sa suite, Aimond William, président de la Fondation des artistes de Côte d’Ivoire ( Fondaci) , structure réalisatrice dudit film a souligné que l’étape de Bouna est très spéciale pour la simple raison que Camara Loukimane, parrain de cette étape est un travailleur infatigable qui est toujours prêt à accompagner le Président Ouattara dans sa quête de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. « Les artistes de Côte d’Ivoire ont traversé une période difficile lors de ces deux décennies. Et pour la première fois dans l’histoire de la Côte d’Ivoire, un Chef de l’Etat en la personne d’Alassane Ouattara a décidé d’octroyer une pension alimentaire de 300.000 mensuelle aux pionniers des arts et de la culture. Quand les faits sont réels, il est de les porter à la connaissance du grand public.

Nous sommes venus ici ( Bouna) pour demander aux populations de nous aider à dire merci au président Ouattara pour ces actes de bienfaisance à l’endroit de nos pionniers », fait-il savoir. Quant à Camara Assimion, responsable de la formation à la Sicogi par et représentant de Camara Loukimane, directeur général de la Sicogi par ailleurs parrain de cette cérémonie, il a salué l’initiative prise par Aimond Willam et ses amis. A l’en croire, ce film qui relate les actions sociales que le Président Ouattara posent à l’endroit des artistes est à saluer à sa juste valeur. « Camara Loukimane qui est un disciple du Président Alassane Ouattara a offert cette opportunité à ces parents du Bounkani afin qu’ils regardent ce film très apprécié par les Ivoiriens. Pour lui, en le faisant le directeur général de la Sicogi invite ses parents à voter massivement le Président Ouattara à ‘’ écraser’’ ses adversaires lors du premier tour de la joute présidentielle du 25 octobre 2015. De sorte à poursuivre ses œuvres qui permettront à la Côte d’Ivoire d’être émergeante à l’horizon 2020.
Bien avant la série des allocutions, le film de 26 mn a été projeté pour le grand plaisir des populations du Bounkani. Lors du passage du film , c’est une foule crispée de voir des icônes du monde des arts et de la culture dans une situation peu reluisante au soir de leur vie. Avec des témoignages des artistes tels que tantie Oussou, Allah Thérèse, Kouamé Adigri , les populations de Bouna ont pu découvert ce que le Président Ouattara a fait et continue de faire pour le rayonnement de la culture ivoirienne. L’un des temps forts de cette cérémonie a été les prestations artistiques. Au niveau de ce chapitre, c’est Polas 99 plus un qui a ouvert le bal. Il a été suivi par Fe-man , l’une des voix suave de la région du Bounkani. Ensuite, Dadié la coqueluche de la musique lobi et le groupe Rames ont tenu en haleine les hôtes de la Fondaci. Au terme de cette cérémonie qui ne sera certainement pas oubliée de sitôt par les populations du Bounkani, Ahmed Farras a justifié sa valeur qui lui est reconnu à travers une prestation époustouflante. Lorsque l’artiste a entonné son titre phare ‘’ deni’’, c’est une foule surexcitée qui le reprenait un chœur.

En sus, il a dit au revoir de Bouna avec le titre ‘’ la paix’’. C’était un délire total puisse que les hôtes de la Fondaci ont abandonné leurs sièges en se jetant sur l’artiste et la scène . Synonyme pour dire que cette 4ème étape de la caravane du film « Ado, un cœur qui parle » à Bouna a connu un francs succès l’instar de celles de Dimbokro, Adiaké et Bassam. Il faut noter qu’avec le succès de cette étape offerte par Camara Loukimane à ses parents, cap sera mis les jours à venir à Bouaflé pour la 5ème étape.
Rodrigue Konan, envoyé spécial à Bouna.Source : Ivoire Presse

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