Affaire Hollande/Valérie Trierweiler aurait essayé de chercher de l’aide auprès de Ségolène Royal
Incroyable. Selon deux journalistes de Grazia qui ont mené l’enquête, Valérie Trierweiler aurait cherché à faire la paix avec Ségolène Royal, souhaitant même que cette dernière lui donne des conseils.
C’est un revirement de situation qui a dû étonner dans l’entourage de Ségolène Royal.
Anna Borrel et Stéphanie Marteau, deux journalistes de Grazia qui ont longuement enquêté sur l’affaire Hollande-Gayet, révèlent aujourd’hui que Valérie Trierweiler aurait tenté par tous les moyens de se rapprocher de Ségolène Royal. Oui, oui, l’ex-détestée, honnie, qu’elle a publiquement humiliée en un tweet assassin le 12 juin 2012.
Selon Grazia, Valérie Trierweiler sentait ces derniers temps que François Hollande lui échappait. En juillet 2013 déjà, c’est seule, « abandonnée » qu’elle se serait rendue en vacances en Grèce. Officiellement, François Hollande rend visite à Jacques Chirac en Corrèze. Officieusement, il se serait rendu à un concert d’Olivia Ruiz. En coulisses, il aurait rejoint une des amies très proches de la chanteuse : une certaine… Julie Gayet avec qui il n’aurait pas hésité à se promener le lendemain sur un marché régional.
Les mois suivants, plusieurs observateurs sentent un malaise.
Lors de la cérémonie d’hommage à Mandela, « il passe son temps à bavarder avec Nicolas Sarkozy, comme s’il lui fallait trouver un dérivatif », note Catherine Schwaab, de Paris Match. Rebelote le 7 janvier, lors de la galette des rois à l’Elysée. « Il coupe la galette, donne une part à Valérie Trierweiler et file à l’autre bout du salon de réception », selon les observations de l’hebdomadaire.
C’est à ce moment-là que Valérie Trierweiler aurait tenté un rapprochement avec sa plus grande rivale. « Dans une tentative désespérée, elle a tenté, par le truchement d’amis communs, de convier Ségolène Royal. Pour faire la paix, pour comprendre aussi peut-être, ce qui lui arrive », révèlent Anna Borrel et Stéphanie Marteau.
Une main tendue, un appel à la solidarité féminine que refusera évidemment Ségolène Royal et qui, selon les deux journalistes, « amusera beaucoup » certains socialistes blacklistés en leur temps par Valérie Trierweiler. Le retour de bâton est difficile, et sévère.
Sériba Koné (Extrait du journal people français Voici)