Culture

Affaire Alpha Blondy est un drogué/Et si le drogué, c’était Koffi Olomidé…(Vidéo)


Abidjan-22-09-16 (lepointsur.com) Une fois de plus, le chanteur congolais, Koffi Olomidé dont les  sorties hasardeuses, frasques et comportements à la limite de la décence n’ont pas fini d’exacerber  l’opinion vient de démontrer  son ingratitude vis-à-vis du peuple de Côte d’Ivoire qui l’a pourtant adopté à l’instar de nombre d’artistes musiciens africains en général et congolais en particulier, démontrant ainsi sa haine pour les Ivoiriens.

A l'instar de nombre de ses compatriotes, la méga star du reggae international Alpha Blondy est victime de la méchanceté du congolais Olomidé. Ph. Dr

A l’instar de nombre de ses compatriotes, la méga star du reggae international Alpha Blondy est victime de la méchanceté du congolais Olomidé. Ph. Dr

Sûrement sous l’effet d’une  dangereuse substance (sic), celui qui a pour habitude de traiter ses danseuses d’objets, répondant aux questions d’un journaliste congolais sur son mutisme avéré face aux dérives totalitaires du pouvoir Joseph Kabila a rué dans les brancards pour brocarder  les artistes ivoiriens Alpha Blondy, Arafat et Meiway  traitant  le premier  de drogué et  les deux autres de collusion avec le pouvoir ivoirien. A l’analyse de cette autre sortie « névrotique », l’on est en droit de se demander si le drogué dont parle koffi Olomidé ne se nommerait pas « Koffi Olomidé », le grand Mopao, l’homme aux multiples frasques. Morceaux choisis des injures aux artistes ivoiriens et au peuple de Côte d’Ivoire.

« Arrêtez de me comparer à cet fumeur de chanvre indien dont la seule chanson est « sweet fanta Diallo ». En dehors de ça, ce drogué n’a rien fait pour son pays. Demandez à Alpha Blondy, qui suis-je, et il vous le  dira. Ce rastaman a profité d’une période où il n’y avait pas de concurrence en Côte d’Ivoire. Moi, je suis Koffi Olomidé et Alpha Blondy, selon moi, n’est pas un exemple. » On peut le dire. Ces propos emprunts de suffisance traduisent éloquemment la haine de celui qui jusqu’à une date récente a fait de la Côte d’Ivoire sa deuxième patrie avec la complicité on ne sait trop pourquoi de certaines hautes autorités ivoiriennes. Comme si cette sortie inopportune ne suffisait pas,  l’artiste congolais accusé par ses danseuses d’abus sexuels et autres comportements dévergondés s’en est pris ouvertement à deux autres de ses collègues ivoiriens. Notamment Frédéric Ehui  Meiway et Dj Arafat qu’il accuse de collusion avec le pouvoir d’Abidjan.

« Dites-moi, si les Meiway et Dj Araf ont-ils dénoncé des abus de pouvoir en Côte d’Ivoire » a-t-il renchéri avant de traiter ses compatriotes de la diaspora qui l’ont interpellé de misérables. Serait-ce le chant du cygne pour un artiste en mal d’inspiration et en fin de carrière ? Rien n’est moins sûr.

Toujours est-il que Koffi Olomidé dévoile une autre de ses facettes, à savoir son goût prononcé pour la consommation du chanvre indien. Ne dit-on que c’est un voleur qui reconnait son ami voleur ?

EKB  

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