Ouattara Mandjara/ Sa lettre à Dramane Ouattara.
» Mon Président, après tout le combat que nous avons mené pour vous installer, vous ne nous payez que par le mépris. Comme si votre accession à ce poste n’était que le fruit d’un simple hasard. Mon président, vous avez décidé de me tuer par la faim en refusant de payer ma dette. Je ne vous donnerai pas ce privilège car, au moment où vous lirez ces lignes, je ne serai plus de ce monde. Je vous devance dans l’au-delà tout en espérant que ma mort vous soulagera ou peut-être vous poussera à régler le problème de nombreuses personnes qui se trouvent dans ma situation. Mon président, Je vous devance en vous demandant de méditer sur ces mots du Coran na lilah Wahina ilé rajihoun »
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