Législatives à Yopougon : Ce que propose la liste ‘’Nouvelle Génération’’ du FNDR #Elections
CIV-lepointsur.com (Abidjan, le 14-12-2016) Didier Brou Jean Serge dit Zorababel, tête de la liste ‘’Nouvelle Génération’’ pour le compte du Front national démocratique et réformiste (FNDR) aux élections législatives dans la commune de Yopougon continue la conquête des électeurs.
Le lundi 12 décembre 2016, il était à Yopougon-Attié, quartier plus connu sous l’appellation de Banco 2, en compagnie des autres candidats, certainement les plus jeunes de ces élections législatives, afin de convaincre les populations de voter pour eux le 18 décembre. Dans son message fort applaudi par les populations venues nombreuses l’écouter, le président du FNDR, parti politique d’obédience nationaliste qui totalise 6 ans d’existence, a dit que son parti mise sur la jeunesse en d’opérer le changement tant attendu par les Ivoiriens.
« Si vous voulez un changement définitif, des réformes révolutionnaires pour notre chère Côte d’Ivoire à nous tous, parce que nous avons besoin d’être à l’Assemblée nationale pour proposer des projets de lois pour le bien-être de notre jeunesse et de nos populations, alors vous n’avez pas d’autres choix que de voter le FNDR », a lancé le jeune leader.
Poursuivant, il a exhorté les électeurs « à sortir massivement le 18 décembre pour aller voter la liste du changement, la liste de la nouvelle génération », avant de d’expliquer l’idéologie du FNDR qui est basée sur une politique d’immigration saine et contrôlée pour contrer l’immigration de masse qui a cours en Côte d’Ivoire depuis les années coloniales.
Et cela, pour, dit-il, l’adapter aux difficultés et aux défis du moment. Aussi, a-t-il ajouté, son parti prône « la priorité nationale » tant sur le marché de l’emploi que dans bien d’autres domaines. Avant lui, c’est Gerard Siéblo qui a demandé aux jeunes de se réveiller afin de prendre une part active dans le débat politique nationale en vue d’un changement de mentalités. Car, « une loi qui est voté derrière, est une loi voté contre toi », a-t-il conclu pour paraphraser le leader Sud-Africain, Nelson Mandela.
Une correspondance de J.L