[Klôh-Klôh Festival 2025] Quand musique et cohésion sociale s’unissent avec Mo’Lengue et Robi 24
Le Klôh-Klôh Festival 2025 a offert une soirée artistique inoubliable. Après un panel sur la cohésion sociale animé par la Fondation Félix Houphouët-Boigny, les artistes Mo’Lengue et Robi 24 ont galvanisé le public dans une ambiance à la fois conviviale et citoyenne.
Koriakro, le 5 septembre 2025 (lepointsur.com) – Après un moment de réflexion intense autour du panel animé par la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix, sur le thème « L’importance de la cohésion sociale dans le maintien de la paix », le Klôh-Klôh Festival 2025 a laissé place, dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 5 septembre, à une soirée artistique haute en couleurs.
Le public, composé de jeunes, de festivaliers et des membres du comité d’organisation, a été transporté par les prestations des artistes Mo’Lengue et Robi 24, deux figures montantes de la scène musicale locale. Leur énergie et leurs messages ont apporté une touche festive tout en renforçant le fil conducteur du festival : unir la culture, la jeunesse et la paix.
Entre réflexion et divertissement
Cette soirée illustre parfaitement l’esprit du Klôh-Klôh Festival : allier réflexion citoyenne et divertissement populaire. Après avoir écouté les interventions du panéliste Yah Kouakou Jérôme, chercheur et formateur au département de recherche sur la paix de la Fondation FHB, sociologue et écrivain, sur la nécessité de préserver la cohésion sociale, les festivaliers ont pu se retrouver dans une ambiance conviviale, marquée par des rythmes entraînants et des paroles porteuses de sens.
La musique comme ciment social
En réunissant réflexion et musique, le Klôh-Klôh Festival a prouvé une nouvelle fois que la culture peut être un levier puissant pour rapprocher les communautés et sensibiliser sur les enjeux de paix. Mo’Lengue et Robi 24, par leurs textes et leur énergie scénique, ont su transformer la soirée en un moment fédérateur, où l’art a pris le relais des discours pour porter le message de la cohésion.
Médard KOFFI, à Koriakro (Yamoussoukro)