[Hassan DAKHLALLAH] L’Homme-Orchestre des Grands Travaux, Bâtisseur du Présent et de l’Espoir Africain
Abidjan, le 11 juin 2025 (lepointsur.com) – À l’heure où l’Afrique redessine son destin au sein du concert des nations émergentes, certains noms s’imposent comme des repères de confiance, des figures d’un renouveau fondé sur l’action, la compétence et le sens du bien commun. Parmi eux, celui d’Hassan DAKHLALLAH, Président-Directeur Général du prestigieux Groupe PORTEO BTP, brille d’un éclat particulier. Sacré Meilleur Bâtisseur Africain des Grands Travaux lors de la 2ᵉ édition du Dîner-Gala des Bâtisseurs Africains, prévue en juillet prochain, il incarne, avec une rare cohérence, l’alliance entre excellence technique, responsabilité sociale et patriotisme économique.
Sous son impulsion, PORTEO BTP s’est hissé au rang de fleuron du secteur des infrastructures en Afrique de l’Ouest, bien au-delà des frontières ivoiriennes. Plus de 2 000 km de routes livrées en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Togo, des ponts innovants, des zones industrielles modernisées, des centres hospitaliers, des universités, des complexes sportifs, des pôles logistiques, des voiries urbaines réhabilitées, un éclairage public performant et des écoles rénovées témoignent d’une dynamique de transformation territoriale majeure. Depuis son siège à Abidjan, le groupe s’est imposé comme un véritable champion ouest-africain des infrastructures, avec des projets structurants au Sénégal, au Mali, au Congo ou encore au Rwanda. Cette réussite n’est pas le fruit du hasard, mais le produit d’une vision long terme, d’une rigueur managériale exemplaire et d’un ancrage dans les réalités africaines.
Mais l’œuvre d’Hassan DAKHLALLAH dépasse largement le béton et l’acier. Visionnaire humaniste, il a toujours considéré que la grandeur d’une entreprise se mesure à son impact social. Fidèle à cette conviction, il a inscrit dans l’ADN de PORTEO BTP une politique de responsabilité sociétale ambitieuse, articulée autour de la formation des jeunes, de l’inclusion des femmes et du développement communautaire. À travers PORTEO ACADEMY, des centaines de jeunes techniciens, ingénieurs et artisans du BTP sont formés chaque année, renforçant durablement l’écosystème ivoirien et régional. Une attention particulière est portée à la promotion des jeunes filles dans les métiers techniques : conductrices d’engins, dessinatrices techniques, cheffes de chantier, autant de fonctions autrefois inaccessibles aux femmes, aujourd’hui revalorisées par une politique résolument inclusive et égalitaire.
Hassan DAKHLALLAH n’a pas attendu les projecteurs pour agir là où l’État et les institutions tardent parfois à répondre aux urgences sociales. Soutien aux orphelinats, dotation d’équipements sanitaires, financement de bourses scolaires, construction d’écoles, de centres de santé et de logements sociaux dans les zones défavorisées : ses actions, menées en partenariat avec des collectivités locales et des ONG, dessinent une autre carte du développement, une géographie de l’espérance bâtie sur le terrain, pierre après pierre. Sa stratégie, silencieuse mais efficace, privilégie l’effet concret à la médiatisation, la dignité des bénéficiaires à la communication de façade. Dans un monde où les discours abondent, il choisit de parler par ses réalisations.
Face aux défis techniques, aux pressions politiques ou aux critiques souvent injustes que suscite la réussite en Afrique, il demeure inébranlable. Son credo : livrer dans les délais, respecter les normes internationales, garantir la qualité, et surtout, bâtir pour transformer des vies. En cela, il s’inscrit pleinement dans la vision d’un État ivoirien moderne, compétitif et solidaire, telle que prônée par le Président Alassane OUATTARA. Par son œuvre, il incarne cette nouvelle génération de capitaines d’industrie, piliers du développement durable africain, artisans silencieux d’un futur plus équitable.
Reconnaître aujourd’hui Hassan DAKHLALLAH comme champion africain des grands travaux, c’est rendre justice à une trajectoire exemplaire, à une éthique de l’effort et à un leadership sans ostentation. C’est dire à la jeunesse d’Afrique : voici un modèle, un repère, un phare. Voici un homme qui bâtit des routes, des ponts, des villes, mais surtout… des destins.
Médard KOFFI