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[Gestion efficiente et efficace de la filière anacarde] SYNAPFA-CI veut apporter son grain de sel


Bouaflé, 28-05-2024 (lepointsur.com) La salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Bouaflé a abrité, le mardi 21 mai 2024, la première conférence de presse du Syndicat national des acteurs et professionnels de la filière anacarde de Côte d’Ivoire (SYNAPFA-CI).

Principal conférencier du jour, Soumahoro Lassiné, ingénieur analyste du système d’information et de formation, par ailleurs secrétaire général du SYNAPFA-CI était accompagné à la table de séance par Coulibaly Miyala Béatrice, déléguée régionale et départementale de la Marahoué et Diarrassouba Vacaba, secrétaire général adjoint en charge de l’environnement et de l’écologie.

Ex-secrétaire général de la coopérative des producteurs d’anacarde du Worodougou (COPAWO) et ex-secrétaire général de l’Union des Coopératives de Cajou de Côte d’Ivoire (UCCACI), Soumahoro Lassiné souhaite apporter son expertise à la résolution des problèmes qui minent cette filière. Son élection à la tête du SYNAPFA-CI n’est donc pas fortuit. « Les postes que j’ai occupés précédemment prouvent mon engagement en tant que sachant dans la filière cajou en Côte d’Ivoire. Avec cette nouvelle fonction, je vais me mettre entièrement au service de la filière. En effet, la création de notre syndicat va vraiment contribuer à la résolution des problèmes dans la filière car, nous allons nous donner un programme annuel qui permettra de résoudre les problèmes qui minent la filière. Tels que, le rendement des plantations, la sacherie et le reprofilage des pistes rurales », a déclaré Soumahoro Lassiné, secrétaire général du SYNAPFA-CI.

Pour joindre l’acte à la parole, le SYNAPFA-CI compte organiser 3 ateliers à Bouaflé, Bondoukou et à Odienné. Le 1er atelier de formation, celle de Bouaflé, se portera notamment sur les faiblesses du rendement des plantations de cajou et la qualité de la noix brute de cajou.

La formation de Bondoukou, quant à elle, traitera du mécanisme de la fixation du prix de la noix brute de cajou. Et enfin celle de Odienné sera axé sur la sacherie. Les différents ateliers permettront, en outre, aux participants de mieux comprendre et apporter les solutions aux problèmes auxquels la filière cajou est confrontée.

Serge N’guessan, à Bouaflé

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