[Duékoué/Mystère] Terrassé après un an, un bois sec se lève et attire les spirituels et les marabouts du monde
Duékoué, le 1er-11-2023 (lepointsur.com) A Duékoué, le mystère vient de se produire : terrassé il ya plus d’un an au quartier Toguéhi de Duékoué, suite au passage d’un vent violent, un bois de teck sec s’est subitement levé le dimanche 29 octobre 2023 dernier, à la surprise générale de tous les habitants de la capitale de la région du Guémon. Un fait qui attire les ministres des cultes et autres géomanciens d’Afrique. Les faits…!
Nous y sommes enfin. A Duékoué, un fait majeur fait la une de toutes les conversations désormais : dans le quartier Toguéhi, dans la cour d’un ressortissant de la région du Tonkpi, un bois de teck terrassé par un vent violent s’est levé, seul, après un an, pour reprendre sa place d’antant pourtant actuellement occupé par les femmes de la cour pour préparer les repas.
Le pèlerinage des guides religieux et autres marabouts au quartier Toguéhi
Depuis ce jour, le volet spirituel de cet événement extraordinaire digne dit-on, de la manifestation de la puissance du Saint-Père dans la société fait de ce site si particulier , un lieu de prédilection de tous les hommes spirituels et autres mystiques du monde. Venus d’Afrique et des autres continents, ils y font des prières pour les uns et, pour les autres, l’entourent de rameaux, emportent des branches sèches et/ou écorces de ce teck miraculé.
Le message des populations du quartier Toguéhi de Duékoué
Les populations de Duékoué ne sont pas restées indifférentes face au soulèvement de ce bois de teck sec que les femmes s’apprêtaient le dimanche dernier, à découper en de petits morceaux pour servir de bois de chauffe.
De dame Glai Lydie, l’une des locataire de la cour à Mme Podé Patricia en passant par l’honorable Keula Bruno, chef du quartier Toguéhi, tous ont indiqué que Dieu a lancé ainsi un appel pressant à la paix et la cohésion sociale car selon eux, la fin du monde serait proche.
L’arbre sec soulevé aura-t-il à terme, des feuilles ? Seul l’avenir nous le dira, certainement.
Laine Gonkanou, Correspondant Régional
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