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[Côte d’Ivoire/Politique] Il faudra, tôt ou tard, vider la question de la nationalité et organiser des élections transparentes, équitables et apaisées


Abidjan, 10-02-2025 (lepointsur.com) À Barthelemy Zouzoua Inabo : Nul n’échappe à son destin, dit-on. La Côte d’Ivoire n’échappera pas à son destin. Il faudra, tôt ou tard, vider la question de la nationalité et organiser des élections transparentes, équitables et apaisées. #CMUPOURTOUS, 17 016 402 enrôlés désormais. Des vibrations positives pour Mylène. Dernière ligne droite pour le record Guinness. Football, les amoureux du ballon rond ne s’ennuient pas en Côte d’Ivoire.

“ La Côte d’Ivoire a connu la bataille, puis la guerre du « Et et Où ». Va-t-elle plonger dans le tourbillon de « exclusivement » ? ’’

La question de la nationalité, la CEI seront clairement au cœur de la campagne électorale en octobre 2025. Un internaute prévient cependant : « la nationalité est un couteau à double tranchant ».

La CEI est, quant à elle, l’objet de toutes les attaques, mais personne n’a la potion magique. Parce que simplement, personne ne descendra de la planète Mars pour la diriger. En plus, les animateurs de la scène politique et même sociale, n’envisagent pas le retour du ministère de l’Intérieur dans le pilotage des élections. La quadrature du cercle.

La Côte d’Ivoire a connu la bataille, puis la guerre du « Et et Où ». Va-t-elle plonger dans le tourbillon de « exclusivement » ?

Ces derniers jours, les débats sont focalisés sur la double nationalité du jeune président du vieux parti. Il a formellement décidé de renoncer à sa nationalité française. Certains pointent la mauvaise communication du vieux parti.

“ On peut le dire des hommes et des femmes politiques en Côte d’Ivoire. La CEI est un exemple parfait. L’institution est sous pression à neuf mois des élections. ’’

La question de la nationalité en Côte d’Ivoire doit être abordée franchement et sans faux-fuyants. Elle est au cœur des élections depuis le milieu des années 90.

Le père fondateur parlant des Arabes disait qu’ils sont d’accord sur leurs désaccords. On peut le dire des hommes et des femmes politiques en Côte d’Ivoire. La CEI est un exemple parfait. L’institution est sous pression à neuf mois des élections. L’opposition réclame la révision de la liste électorale en 2025, conformément à la loi. « Ce n’est pas possible sans sortir des délais légaux ou violer la loi sur le parrainage qui doit se faire sur la liste définitive », réplique-t-on à la villa Angoua.

La politique dans le pays de ton Camarade donne le tournis. Allons sur le terrain du social. Au ministère de l’Emploi et de la Protection, le cabinet boit du Gnamakoudji glacé actuellement. La campagne massive pour l’enrôlement la #cmuciv porte ses fruits. Les chiffres grimpent à la satisfaction de Maîtré-Maitré. Plus de 17 millions d’enrôlés à ce jour. La question qui taraude la tutelle est désormais le retrait des cartes des requérants. « Le partenaire technique nous a assurés qu’à partir du 15 février 2025, tout entrera dans l’ordre ».

“ C’était l’un des défis à relever par l’équipe de YID : faire rouler le ballon sur tout le territoire national et dans toutes les catégories, chez les hommes et chez les femmes. C’est une belle réussite. ’’

En réalité, le ministère a un nouveau partenaire technique. La migration des données de l’ancien partenaire à l’actuel est en cours. Le processus sera achevé le 15 février et tous ceux et toutes celles qui ont été enrôlés et qui n’ont toujours pas leurs cartes pourront les récupérer ou, à défaut, s’enrôler de nouveau.

La CNAM aurait pu placer une équipe mobile au stade de la BAE. Faire ainsi, d’une pierre, deux coups : soutenir la jeune compatriote en quête du record Guinness de peinture et enrôler les jeunes qui défilent. Dernier jour du défi, ce lundi 10 février 2025. Elle n’est plus loin de la victoire.

Un ban pour la fédération de football. C’était l’un des défis à relever par l’équipe de YID : faire rouler le ballon sur tout le territoire national et dans toutes les catégories, chez les hommes et chez les femmes. C’est une belle réussite.

Par Fernand Dédeh

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