Soumayé, le 08-03-2024 (lepointsur.com) Entraîneur adjoint des éléphants sous son collègue Gasset lors de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) organisée en Côte d’Ivoire en 2024, l’Ivoirien Émerse Faé a pris les rênes de l’équipe nationale de Côté d’Ivoire jusqu’à son sacre inattendu, après la démission du français suite à la défaite cinglante des pachydermes face à la jeune équipe de la Guinée Équatoriale, sur un score de 4 buts à 0. Mais la joie de la 3e étoile des éléphants semble avoir été de très courte durée pour le jeune prodige natif de Soumayé qui selon certains observateurs sportifs, aurait préféré aussi présenter le fruit de son exploit à sa défunte mère, tout comme il l’a fait, à son géniteur.

S’inspirant de son passé récent, Émerse Faé scrute l’horizon avec méthode et sagesse

Maman Tahi Antoinette épouse Faé, la génitrice de M. Émerse Faé, jeune entraîneur ivoirien, champion de la 34e édition de la CAN a été rappelée à Dieu en 2012. Aujourd’hui, 12 ans jour pour jour, son absence se fait sentir de plus en plus dans l’existence quotidienne de ses enfants dont l’entraîneur prodige originaire de Souebly, dans le Département de Facobly, après son premier sacre africain. « C’est l’une des occasions idéales pour un enfant d’être félicité par ses deux parents. Hélas, la nature en a décidé autrement… Beaucoup de courage à mon jeune frère Émerse Faé. Qu’il sache que depuis l’au-delà, sa mère veille sur lui » , avait compati à sa douleur intime, M. Gabi de Maébly.
En clair, le drame intérieur du champion Émerse Faé est très profond.

Toutefois, nous espérons tout de même que les soutiens de son géniteur Faé Blédi Célestin, de ses soeurs et frères, de son épouse et de ses enfants, de sa famille élargie, du peuple du District autonome des montagnes, de tous les ivoiriens puis de ses nombreux fans à travers le entier contribueront à l’aider davantage à avoir un moral d’éléphant, pour dominer tous les obstacles qui se dresseront sur son passage.

Votre organe numérique lepointsur.com se joint une fois de plus à toutes et à tous, en cette journée internationale de la femme, pour lui apporter ses soutiens indéfectibles et prier pour le repos de l’âme de Maman Tahi Antoinette.

Laine Gonkanou, Correspondant Régional

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