« CAN 2023, tout se précise. Miss CIV, les commentaires donnent froid au dos. »
Abidjan, 03-07-2023 (lepointsur.com) À Barthelemy Zouzoua Inabo : CAN 2023, tout se précise. Le Blanc de la Mé parle à Ebimpé, le 11 juillet 2023. Miss CIV, les commentaires donnent froid au dos. Zouan-Houein, sensibilisation que la sécurité transfrontalière. Variétoscope 2023, Séguéla a bien donné le ton…
“ Tout est désormais dans le bac. Tout est calé. L’État de Côte d’Ivoire, le COCAN et la CAF sont synchrones. Le 7 juillet 2023, la mascotte de la compétition sera dévoilée. ’’
« CAN 2023, la Côte d’Ivoire est prête ». Axe de communication et de promotion de la compétition qui sera déroulée à partir du 4 juillet 2023. Tout est désormais dans le bac. Tout est calé. L’État de Côte d’Ivoire, le COCAN et la CAF sont synchrones. Le 7 juillet 2023, la mascotte de la compétition sera dévoilée. L’artiste-Zouglou, Le Gaou-Magicien a déjà annoncé les couleurs sur ses pages : c’est lui qui a été choisi pour la composition de l’hymne de la CAN de l’hospitalité. Le clou du lancement de la campagne de communication de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations 2023, ce sera le 11 juillet, à Ebimpé.
Pour montrer à quel point, ton Camarade, son gouvernement et le peuple ivoirien tiennent à cette compétition comme à la prunelle de leurs yeux, c’est le Blanc de la Mé lui-même, qui va remettre officiellement à la Côte d’Ivoire, à l’Afrique et au monde, les clés des stades à la CAF. Ça ne signifie pas que tous les travaux de mise en conformité, sont achevés. Ça signifie que globalement, plus rien ne s’oppose à l’organisation pratique de la fête.
“ Le stade porte le nom de ton Camarade et il va abriter la cérémonie d’ouverture et le match d’ouverture le 13 janvier 2024 et la finale, le 11 février 2024. ’’
Ebimpé n’a d’ailleurs pas été choisi au hasard. C’est un point important de la communication. Le stade porte le nom de ton Camarade et il va abriter la cérémonie d’ouverture et le match d’ouverture le 13 janvier 2024 et la finale, le 11 février 2024. « La Côte d’Ivoire est prête » pour la CAN 2023. Et toi, es-tu prêt ? Ou bien, tu es encore dans les gbairais ?
Gbairais ! Aucune édition de Miss Côte d’Ivoire ne passe sans son lot de Gbairais. Cette année, c’est un peu corsé quand même. Les perles sur lesquelles je suis tombé… Si les organisateurs découvrent les noms des personnes à l’origine des commentaires salés, ils vont les poursuivre devant la CPI. « Nul. Mal ficelé. Événement chaotique. Volet artistique catastrophique. Réalisateur RTI possédé » ; « C’est la première fois que l’on joue un morceau trois fois…Rihanna même est étonnée » ; « Supra nulle et fade » ; « Est-on obligé de décerner la couronne ? On peut reconduire Marlène ».
“ Sur le direct du diffuseur sur les réseaux sociaux, plus de quatorze mille (14) internautes connectés. Ils ont chaudement commenté l’événement. ’’
Bref ! Miss Côte d’Ivoire a tenu en haleine son public. Sur le direct du diffuseur sur les réseaux sociaux, plus de quatorze mille (14) internautes connectés. Ils ont chaudement commenté l’événement.
À la fin, Miss Côte d’Ivoire 2023 s’appelle, Djihony Mylène, candidate n° 15, 25 ans, 1,75 m.
Un mot de sécurité. À l’intérieur du pays. À l’extrême-Ouest. Sensibilisation sur la sécurité transfrontalière à Zouan-Houein. L’idée des autorités chargées de la sécurité est « d’amener les populations à s’impliquer dans la sécurisation des frontières ». Selon le chef du service du Commissariat mixte de Zouan-Houein, « En dépit des efforts consentis par les gouvernements africains, les organisations terroristes et leurs idéologies extrémistes continuent de prospérer sur les territoires malheureusement fragiles de certains États ». Prévenir, anticiper, collaborer pour mieux sécuriser.
“ J’ai aussi suivi le ballet des hommes et des femmes politiques autour de la production. Bon, c’est de bonne guerre. Il faut cependant tenir la limite… ’’
Rentrez bien à Abidjan après le lancement réussi de Variétoscope 2023 à Séguéla. Les jeunes tiennent à cette émission culturelle qui ne prend aucune ride malgré le temps qui passe. J’ai suivi les séquences de la magique prestation de l’artiste Yabongo. J’ai vu les ballets des groupes en compétition. J’ai aussi suivi le ballet des hommes et des femmes politiques autour de la production. Bon, c’est de bonne guerre. Il faut cependant tenir la limite…