Après la présidentielle/ Pr Maurice Kakou Guikahué invite les Chefs Bété de Gagnoa au maintien de la paix
Gagnoa, le 1er-11-15 (lepointsur.com)-Le président du directoire du Rhdp, secrétaire exécutif du Pdci-Rda, Pr. Maurice Kakou Guikahué, fils et cadre du département de Gagnoa, a rencontré tous les chefs de village, de tribu et de canton, au foyer Bonweli de Garahio, samedi 31 octobre 2015 pour traduire la reconnaissance de la coalition politique qu’il incarne, envers les garants de la tradition de la région du Gôh.
« Je remercie de façon particulière le Chef Koudou Denis, du village de Garahio pour l’accueil traditionnel emprunt de sympathie et de gentillesse mais surtout d’engagement qui nous a été réservé », a introduit le président du directoire du Rhdp pour rendre un hommage mérité et situer l’objet de la rencontre avec les garants de la tradition de la localité.
« J’ai tenu à venir vous saluer d’abord pour vous rendre hommage et souligner à haute voix, la compréhension que vous avez de votre mission.
Vous avez choisi de placer désormais toute votre action, tout votre comportement dans l’optique du développement dans l’intérêt supérieur bien compris de notre Région », a ajouté le Pr. Maurice Kakou Guikahué. Aussi, a-t-il remercié toute la chefferie traditionnelle pour avoir tenu parole, quant au quota de 85 participants indiqué par l’honorable Lambert Gbizié, au nom des Chefs des 10 régions du Grand- Ouest.
Outre l’implication personnelle des garants de la tradition, dans le maintien du climat de paix, de quiétude et de sérénité dans le département durant toute la période de la campagne électorale présidentielle, le jour du vote, le dimanche 25 octobre 2015, le secrétaire exécutif du Pdci-Rda a tenu à féliciter les sages pour l’ambiance qui a régné et qui continue de régner dans le département qui pour lui, est une grande fierté pour la région du Gôh, leurs enfants et eux-mêmes, dont ils en sont très reconnaissants.
« C’est la première fois depuis 1990 que notre région se distingue si pacifiquement au cours des élections, ce qui constitue, sur le plan national un motif réel de satisfaction générale », a-t-il soutenu. Non sans les inviter à travailler davantage et tous les jours pour le maintien de cet environnement de paix dans leur région si sensible. Car, a-t-il conclu « la paix, absence de violence de tous ordres, est le préalable à tout développement ».
Une correspondance particulière de Gilles Richard OMAEL
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