Lima, le 8 Octobre 2015 (lepointsur.com)-Les ministres des Finances des Vingt Vulnérable (du V20), représentant près de 700 millions de personnes menacées par le changement climatique et couvrant les régions du monde, ont tenu leur première réunion le 8 Octobre 2015 à Lima, au Pérou. Ils ont annoncé une série d’actions visant à favoriser un investissement accru dans la résilience climatique et du faible développement des émissions à la maison et à l’étranger.

Jim Yong Kim, le président de la Banque mondiale, le 8 octobre 2015 à Lima (Pérou). (GULBIN YILDIRIM / ANADOLU AGENCY / AFP)

Dans sa première déclaration le groupe appelé la réponse au changement climatique une “priorité humanitaire avant tout”, avec le V20 engageant à agir collectivement pour “favoriser une augmentation significative » des financements publics et privés pour l’action climatique à partir de sources de grande envergure, y compris internationale, la mobilisation régionale et nationale.

« En l’absence d’une réponse mondiale efficace, les pertes économiques annuelles dues au changement climatique devraient dépasser US $ 400 milliards d’ici 2030 pour le V20, avec des impacts dépassant de loin nos capacités locales ou régionales”, a déclaré Cesar Purisima, ministre des Finances des Philippines . “Ici, à Lima, nous nous unissons pour ce que nous croyons est la question des droits de l’homme fondamental qui menace notre propre existence aujourd’hui. L’action climatique nous donne l’espoir que nous pouvons encore voir un avenir sans les effets les plus dévastateurs du changement climatique.  »

Les ministres des Finances ont décidé de développer et d’appliquer des mesures fiscales novatrices. Ils ont exprimé leur soutien pour une taxe internationale sur les transactions financières pour aider à la mobilisation de ressources supplémentaires pour la lutte contre le changement climatique. Ils ont également appelé à un accès amélioré à la finance internationale sur le changement climatique pour l’adaptation et les mesures d’atténuation, le respect de l’engagement de 100 milliards $ au Fonds vert pour le climat, et l’accélération vers un équilibre 50:50 ressources mobilisées donnée prévaut déficits pour les initiatives visant à adapter au climat changer.

« Ce ne sont pas un groupe typique de grandes économies. Au lieu de cela, nous représentons les pays mis à haut risque par les échecs économiques pour lutter contre le changement climatique « , a déclaré Jose Francisco Pacheco, vice-ministre des Finances du Costa Rica, appelant l’événement aujourd’hui à Lima » historique « . « Nous avons décidé de travailler ensemble pour nous assurer que nous ne sommes pas faits victimes, mais faire tout notre possible pour contribuer à la résolution de cette crise. »

Dr Atiur Rahman, gouverneur de la Banque du Bangladesh, a ajouté: “Nous voulons que le monde sache que nous ne serons pas négliger les dangers que nos économies ont été placés à raison des lacunes, en particulier de l’action par les grandes économies. Le monde a besoin aussi de savoir que travailler ensemble nos pays vulnérables font tout en notre pouvoir pour sortir de la crise climatique sous contrôle, et nous ne reculera pas jusqu’à ce que nous avons réussi dans notre ambition.  »

En outre, les ministres des Finances ont convenu d’établir un V20 climatique mécanisme de mutualisation des risques souverain de répartir les risques économiques et financiers, permettant des économies participantes à améliorer la récupération après des événements météorologiques extrêmes causés par le climat et les catastrophes et d’assurer une sécurité accrue pour les emplois, les moyens de subsistance, les entreprises et les investisseurs. Modelé sur les installations régionales similaires, le mécanisme trans-régionale augmenterait accès à l’assurance fiable et rentable tout en incentivizing mesures d’adaptation à grande échelle.

Enfin, les pays V20 sont engagés à élaborer ou à améliorer leurs modèles et méthodes de comptabilité financière pour améliorer la comptabilité des coûts du changement climatique, les risques et la réponse des co-bénéfices sous toutes leurs formes, tout en cherchant un nouveau partenariat international pour aider à réaliser les objectifs du groupe.

« Les contraintes financières ont mis en place des barrières sérieuses pour l’action climatique et exposent des millions à la catastrophe et les difficultés. Nous croyons que la vision de la V20 de déployer l’innovation dans la finance, sur la base des expériences partagées, a un grand potentiel pour abattre ces obstacles « , a déclaré Helen Clark, Programme développement des Nations Unies (PNUD) de l’administrateur.

La directrice du FMI, Christine Lagarde et le président de la Banque Mondiale, Jim Yong Kim. (GULBIN YILDIRIM / ANADOLU AGENCY / AFP)

« Le monde a besoin de voix fortes des pays en développement à attirer plus d’attention à leurs grands besoins d’investissements dans la lutte contre les impacts du changement climatique« , a déclaré président de la Banque Groupe mondial Jim Yong Kim .” Ce nouveau groupe de 20 pays, dirigé par les Philippines, jouera un rôle important dans la promotion d’investir davantage dans la résilience climatique et la croissance faible en carbone à la maison et à l’étranger « .

Le V20 a été créé pour promouvoir la mobilisation de financements pour le climat; pour partager et échanger les meilleures pratiques sur les aspects économiques et financiers de l’action climatique; à développer et mettre en œuvre des approches améliorées et novatrices; et de participer à d’autres activités de plaidoyer et des actions communes.

Un groupe de travail de la V20 a commencé le suivi immédiat de commencer la mise en œuvre du premier plan d’action, les progrès sur qui sera présenté à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à Paris (COP21) plus tard cette année. La déclaration de V20 dit COP21 doit livrer « un accord entièrement compatible avec la survie non négociable de notre espèce”, tout en soulignant l’importance d’un dessous de 1,5 ° objectif renforcé de température C.

L’Afghanistan, le Bangladesh, la Barbade, le Bhoutan, le Costa Rica, l’Ethiopie, le Ghana, le Kenya, Kiribati, Madagascar, Maldives, Népal, Philippines, Rwanda, Sainte-Lucie, la Tanzanie, le Timor-Leste, Tuvalu, Vanuatu et le Vietnam font partie de la V20 et la Climat associé Vulnerable Forum (CVF) qui a mandaté la formation du groupe.
Sériba Koné avec le Sercom du PNUD

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