Une VAR peureuse ! (Simple avis)
Vous l’avez sans doute remarqué comme moi, la VAR utilisée en Égypte était peureuse. Quand les Sénégalais ont vivement protesté contre le penalty accordé par l’arbitre à la Tunisie, la VAR a eu peur et a annulé le penalty.
Les Algériens ont compris que cette VAR était poltronne. Dès que l’arbitre camerounais a désigné le point de penalty, ils sont allés vers lui pour protester et la VAR a eu une fois encore peur et le penalty a été aussi annulé.
‘’Je dis ô, affaire de bras collé au corps, vous avez une fois aperçu un bras détaché du corps qui se promène seul sur un terrain de football ? Moi, je vois toujours les bras collés, du moins, reliés au corps par l’omoplate.’’
Je dis ô, affaire de bras collé au corps, vous avez une fois aperçu un bras détaché du corps qui se promène seul sur un terrain de football ? Moi, je vois toujours les bras collés, du moins, reliés au corps par l’omoplate.
‘’Avec cette VAR annoncée comme juste, impartiale, en un mot, réparatrice de tort, appelée à grands coups de publicité pour pallier les limites de l’homme, on n’est pas sorti de l’auberge.’’
Au Mondial 2018, quand l’arbitre siffle un penalty et va consulter la VAR, il revient dans 98% des cas annuler sa décision. Et vice-versa. Quand il ne siffle pas et qu’il va consulter la VAR sur protestation, il revient en « sautant-courant « (sautillant) désigner le point de penalty.
Avec cette VAR annoncée comme juste, impartiale, en un mot, réparatrice de tort, appelée à grands coups de publicité pour pallier les limites de l’homme, on n’est pas sorti de l’auberge. Surtout que celle qu’on a envoyée en Égypte est peureuse. Seuls les Ivoiriens n’ont pas compris cela. S’ils avaient protesté avec véhémence et en chœur (ne laissant pas seul Gbohouo), l’arbitre aurait consulté la VAR pour venir annuler le penalty contre les Éléphants et accordé, par contre, au moins, un penalty à la Côte d’Ivoire sur les deux balles sur les bras des défenseurs algériens.
Par Pascal Kouassi