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Un réfugié ivoirien arrêté pour le meurtre d’un couple en Italie


Abidjan, le 1er -9-15 (lepointsur.com)-La scène s’est passée en  Catane à Palerme. Un réfugié ivoirien âgé de 18 ans a été reconnu coupable du meurtre d’un couple par les autorités policières locales. Les deux conjoints, Victor Solano, 68 ans et son épouse espagnole Mercedes Ibaniz,  70 ans ont selon la police été massacrés par le réfugié qu’ils hébergeaient. De sources policières également, le meurtre aurait  été commis suite un vol à main armée mal ficelé.

La communauté noire sur les lieux (Ph:Dr)

La communauté noire sur les lieux (Ph:Dr)

Accusé de  double assassinat,  le jeune  ivoirien de 18 ans, Mamadou Kamara, était l’invité  de Cara de Mineo le 8 juin dernier. Pour établir les faits relatifs à un assassinat, les fins limiers de la policie de l’Etat italien ont fait des prélèvements d’ADN, ainsi que des recherches portées sur les empreintes digitales. Toute cette enquête a été menée sur ordre du procureur de la  République. C’est donc sur injonctions de ce dernier que le présumé assassin a été mis aux arrêts.  Les enquêtes ont également été menées sur le téléphone portable volé à la victime pendant le vol dans la maison.

En dépit de toutes ces preuves, ils cherchent aussi de potentiels complices parce que les enquêteurs considèrent qu’il est probable que le jeune ivoirien n’ait pas agi seul. Les enquêtes ont commencé à contrôler l’entrée de Darling Mineo, l’un des plus grands espaces d’environ  3 mille invités. Pour rappel, le jeune ivoirien de 18 ans, Mamadou Kamara a atterri à Catane le 8 Juin dernier avec un sac. La police de l’État a découvert sur le présumé coupable un téléphone mobile et un ordinateur portable, mais aussi une paire de pantalons pliés taché de sang.

Pour parvenir à ces résultats, la police de l’Etat a débarqué à Palerme. Une patrouille est arrivée sur les lieux pour recueillir la déclaration de vol. La scène que les enquêteurs ont  découvert est on ne peut plus  spectaculaire. Le corps de la femme a été retrouvé dans la cour, tandis que celui de  l’homme dans la maison, avec  des signes évidents d’une lutte et la maison  dans un désordre total.  Une autre preuve on ne peut plus flagrante, c’est que le meurtrier a échangé les vêtements de la victime taché de sang contre les siens.

EKB (source: http://www.ilmessaggero.it/)

 

 

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