Abidjan, le 25-11-2023 (lepointsur.com) Le samedi 18 novembre 2023 restera à jamais gravé dans la mémoire de la communauté éducative de Gbatongouin. C’est ce jour-là que l’institutrice Kéké Loyoh Christelle Flavie, enceinte, et son fils Kouamé Kouassi Moyé Stéphane Samuel, âgé de seulement 7 ans, ont été sauvagement assassinés.

En hommage à cette enseignante dévouée et à son fils innocent, la suggestion de rebaptiser l’école EPP Keke Loyoh Flavie revêt un caractère symbolique fort.

Cette terrible tragédie a frappé au cœur de l’EPP Gbatongouin 2, laissant la communauté locale dans une profonde consternation. L’institutrice, une figure respectée et dévouée, dispensait son savoir avec passion aux élèves de CP1, contribuant ainsi à l’éducation des jeunes esprits de la région.

Cet incident brutal appelle à une réflexion collective sur les mesures à prendre pour assurer un environnement sûr et serein au sein des écoles.

L’impact de cet acte abominable soulève des questions cruciales sur la sécurité des établissements scolaires et la protection des enseignants, particulièrement en période de vulnérabilité telle que la grossesse de dame Kéké Loyoh Christelle Flavie. Cet incident brutal appelle à une réflexion collective sur les mesures à prendre pour assurer un environnement sûr et serein au sein des écoles.

La tragédie à Gbatongouin appelle à une introspection profonde sur la sécurité des établissements scolaires et la protection des acteurs clés de l’éducation.

En hommage à cette enseignante dévouée et à son fils innocent, la suggestion de rebaptiser l’école EPP Keke Loyoh Flavie revêt un caractère symbolique fort. Ce geste pourrait témoigner de la volonté de la communauté de ne pas oublier le sacrifice de cette mère et de son fils, tout en rappelant l’importance de la sécurité et du respect au sein de nos institutions éducatives.

Cependant, cette proposition soulève des questions sur la responsabilité collective en matière de sécurité et de prévention. Il est essentiel que les autorités éducatives et locales travaillent de concert pour mettre en place des mesures adéquates visant à protéger les enseignants et les élèves, garantissant ainsi un environnement d’apprentissage sûr.

En définitive, la tragédie à Gbatongouin appelle à une introspection profonde sur la sécurité des établissements scolaires et la protection des acteurs clés de l’éducation. La proposition de renommer l’école en hommage à Kéké Loyoh Christelle Flavie et à son fils est une voie symbolique, mais la véritable justice réside dans l’engagement commun envers la sécurité et le bien-être de tous ceux qui participent à l’éducation de nos enfants.

Médard KOFFI

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