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Sécurisation des frontières/ Affrontements inutiles entre soldats maliens et ivoiriens #djihadiste


  • Quand le journal L’Intelligent du Mali désinforme, intoxique et pollue l’atmosphère

A titre d'illustration.Ph.Dr

A titre d’illustration.Ph.Dr

Abidjan, le 04-05-16 (lepointsur.com)- Depuis quelques jours, les cendres couvent des braises ardentes à la frontière ivoiro-malienne, à Odienné, région située au Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire. Deux soldats et un policier interpellés à Ouelli, une localité située à environ 150 km d’Odienné étaient toujours retenus par l’armée malienne.

Aux dernières nouvelles, des militaires maliens ont ouvert le feu sur des soldats ivoiriens et ont fait un blessé côté ivoirien. De sources sécuritaires, les soldats maliens accusent les trois militaires ivoiriens d’avoir franchi leur zone, proche de la ville de Fakola (300 km au sud de Bamako) qui avait été la cible d’une attaque djihadiste en juin 2015.

Cette tension entre les forces de défense et de sécurité des deux pays met en mal, la sécurisation des frontières et le partage de communication. Pourtant, ces deux pays doivent renforcer les échanges d’information concernant des mouvements suspects transfrontaliers pour mieux maîtriser le mouvement des djihadistes.

Sériba Koné

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Mali-Côte d’Ivoire : Après les attentats de Bassam, les autorités Ivoiriennes se radicalisent contre les ressortissants maliens !

Publié le mardi 3 mai 2016  |  l’intelligent

L'attaque de Grand-Bassam, l'image qui a illustré l'article.Ph.Dr

L’attaque de Grand-Bassam, l’image qui a illustré l’article.Ph.Dr

Il n’est pas bon d’être malien aujourd’hui en Côte d’Ivoire ou d’avoir même les papiers maliens après les attentats orchestrés à Bassam dans la station balnéaire de ce pays où résident plus de 3 millions de maliens. C’est une situation qui se révèle chaque jour avec son lot d’injustice et d’arrestation arbitraire qui se passent chaque jour au vu et au su des autorités maliennes qui n’ont rien fait jusqu’à présent pour mettre fin à cela.

On se demande si c’est le retour en arrière dans les années où les maliens étaient terrorisés dans ce pays frère et ami, du fait qu’être malien à un certain moment en cote d’Ivoire relevait de la pire humiliation qu’on puisse imaginer. Après la décennie de crise que le peuple malien a payé au prix fort, des chiffres parlent de plus de 2500 maliens tués.

C’est le retour ou la descente en enfer pour ce peuple malien qui souffre après les attentats de Bassam. Aujourd’hui après les attentats perpétrés, plus de 100 maliens sont emprisonnés sans véritable preuve et qui fait que les autorités Ivoiriennes semblent voir tous les maliens comme des terroristes. A cela s’ajoute le froid qui liait nos deux autorités à savoir Alassane Dramane Ouattara et IBK, ce dernier n’ayant jamais pardonné à Alassane Ouattara de battre son ami « socialiste » Laurent Gbagbo.

Aujourd’hui, les maliens payent cash la politique de va-t-en- guerre de nos autorités face à un pays plus dynamique que le nôtre et où une importante colonie de nos ressortissant sont établis depuis des années.

Economiquement, la Cote d’Ivoire est le meilleur allié du Mali, mais la politique politicienne a détruit une relation vielle de plus de 100 ans, au lieu de renforcer cette politique le président IBK a fait pire et cela fait en sorte que nos ressortissants souffrent encore plus après les attaques perpétrées contre la ville de Grand Bassam.

Pauvres maliens, à l’intérieur le pays est moribond et à l’extérieur nous sommes vus comme des terroristes et entre temps le pays meurt à petit feu

Diakaridia CAMARA

 

 

 

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