Culture

Presse en CI : Disparition du confrère/ Anassé Anassé s’est bel et bien suicidé


UNEANASSE ANASSE1C’est avec de l’acide nitrique que le confrère, Anassé Anassé Bertin s’est donné la mort dans un hôtel à Yamoussokro, en pleine journée du mardi 7 octobre 2014, peu avant 13h. Nous détenons l’information de sources proches de celui qui est resté à ses côtés, en salle de réanimation de l’hôpital où il a suivi « des soins intensifs de lavement gastrique« .

Selon notre source dont taisons le nom, une fois arrivé à Yamoussokro le mardi 7 octobre 2014, Anassé Anassé Bertin a pris une chambre d’hôtel dans laquelle il s’est enfermé. Seul et loin de tous les regards, il s’est purger avec « une importante d’acide nitrique« , selon les sources médicales. Avant de tenter d’en avaler.

Ce sont, toujours selon notre informateur, ces cris qui vont alors interpeller les garçons de service à l’hôtel qui ont aussitôt fait appel à la police. Une fois sur les lieux où la porte était hermétiquement fermée, les agents de la police vont la défoncer. Vu la situation dépassait leurs compétences, ils ont fait appel aux sapeurs-pompiers qui ont transféré le confrère aux urgences.

« C’est grâce à sa carte de presse de L’Inter que j’ai été informé, et aussitôt je me suis rendu à son chevet, vers 13h. Au moment où j’arrivais à l’hôpital, les médecins ont réussi à le désintoxiquer au maximum et nous avons échangé de tout et de rien. En tout cas, ça commençait à aller« , a soutenu notre source qui a requit l’anonymat.

Connaissant donc, son amie avec qui Anassé Anassé Bertin a eu son dernier enfant et qui s’occupait de lui chaque fois qu’il venait à Yamoussoukro, notre source a demandé au confrère s’il pouvait lui faire appel. Et au malade de donner son accord. « Comme je l’appelle ma chérie, je lui ai dit de venir me voir à l’hôpital. A son tour elle m’a demandé ce qui n’allait pas dans la mesure où, Anassé m’a dit qu’elle n’était pas au courant de son arrivée à Yamoussoukro. Je lui ai dit que j’étais un peu souffrant et j’avais besoin de son aide. C’est comme ça qu’elle est toute surprise de voir Anassé. Qui lui a d’ailleurs demandé de lui faire venir un drap« , a indiqué notre interlocuteur. Qui est resté au petit soin du confrère jusqu’à 21h quand le médecin traitant est venu annoncer l’ »évacuation » d’Anassé Anassé à Abidjan.

Vu que le malade avait très bien échangé avec eux et qu’aucun signe ne présageait une mort quelconque, l’évacuation a été prévue pour 8 heures au lendemain.

« Il était 22 heures quand nous avons demandé au médecin de nous retirer pour revenir tôt à 8 heures. Quelques minutes après je suis rappelé de toute urgence par le médecin. C’est là que la triste nouvelle allait tombée. Anassé Anassé Bertin venait de nous quitter à jamais, » précise notre interlocuteur.

Telles sont les conditions dans lesquelles le confrère Anassé Anassé Bertin a déposé à jamais sa plume.

Sa famille a cru qu’il s’était rendu auprès de son amie avec qui il avait son dernier enfant. Que non ! Pourquoi s’est-il donné la mort ? La question reste un mystère dans la mesure où seul le disparu peut répondre.

Kpan Charles

Le mystère plane autour de la mort d’Anassé Anassé Bertin

La nouvelle du décès du journaliste au service politique du Groupe Olympe (éditeur du quotidien l’Inter où il écrivait) Anassé Anassé Bertin est tombée comme un couperet depuis le mercredi 08 octobre 2014. Une fois, encore la grande famille de la presse est endeuillée.

Comme une traînée de poudre, sa mort continue d’alimenter les causeries. Au quartier Maroc, dans la commune de Yopougon, où il vivait avec sa sœur aînée, Anassé Anassé Bertine durant la longue maladie de toxoplasmo-cérébrale,  nous avons  rencontré, vendredi 10 octobre 2014, sa sœur cadette Anassé Emma.

Avec elle, nous nous sommes confortés sur le bruit de son suicide qui courait encore. Elle  s’explique difficilement l’acte de son frère. D’autant plus que, selon elle, il avait pratiquement recouvré la santé. « Il était guéri et avait même pris beaucoup en poids », nous a-t-elle confié.

A l’en croire, son frère s’était rendu, la veille de son décès, c’est-à-dire le mardi 8 octobre 2014,  à Yamoussoukro où il devait rencontrer une amie avec qui, il aurait eu un enfant. A la base, ce voyage aucun danger ne présageait à l’horizon.

Malheureusement, c’est dans cette ville qu’« il se  donnera la mort » contre toute attente. « Pour l’heure, nous avons décidé de ne pas en parler. Retenez seulement qu’il est décédé à Yamoussoukro« , a coupé court sa sœur cadette.

Par conséquent, sa dépouille mortelle a été transférée à Agboville, sa ville natale.

 

Opportune Bath

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