Elle a déclaré: «plusieurs centaines de milliers » sera produite dans la première moitié de l’année.
Et des vaccins pourraient être offerts aux travailleurs de la santé sur la ligne de front en Afrique de l’Ouest dès Décembre 2014.
Cependant, l’OMS a mis en garde que les vaccins ne seraient pas une « balle magique » pour mettre fin à l’épidémie.
Il existe deux vaccins expérimentaux, produit par GlaxoSmithKline (GSK) et l’Agence de santé publique du Canada, déjà en essais cliniques.
Le vaccin de GSK est actuellement en cours d’essais au Mali, au Royaume-Uni et aux États-Unis. La recherche sur le vaccin canadien est également en cours aux États-Unis.
Les résultats sont attendus en Décembre.
Après cela, les essais se déplaceront aux pays touchés par le virus Ebola, probablement commençant avec le Libéria.
Cela permettra aux chercheurs d’évaluer la dose nécessaire pour assurer la protection, et il est probable que la recherche ciblera d’abord les travailleurs de la santé.

Il n’y a pas de plans pour la vaccination de masse avant Juin 2015, mais l’OMS n’a pas écarté cette possibilité.
Dr Marie Paule Kieny, un directeur général adjoint de l’OMS, a déclaré: « Bien que nous espérons que la réponse massive, qui a été mis en place aura un impact sur l’épidémie, il est toujours prudent de se préparer à avoir autant de vaccin disponible si possible, si elles sont avérées efficaces.
«Si encore l’effort massif en réponse n’est pas suffisante, alors le vaccin serait un outil très important.
« Et même si l’épidémie serait déjà en chute au moment où nous avons un vaccin disponible, la modélisation semble dire vaccin peut encore avoir un impact sur le contrôle de l’épidémie. »
Mais l’OMS dit qu’il y avait cinq autres vaccins en préparation, ce qui pourrait encore jouer un rôle dans l’épidémie.
La Banque mondiale et la charité Médecins Sans Frontières financeront le vaccin.

Source: BBC

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