Les établissements sanitaires à base communautaires, centres de soin de premier contact, s’impliquent dans la lutte contre le Covid-19. Dans ce reportage de la RTI, le président de la confédération des 37 établissements sanitaires communautaires, Clément Ouattara, fait l’état des lieux.   

Lavage obligatoire des mains  avec du savon ou du gel hydro alcoolique, prise de température  sous l’œil vigilant des agents de sécurité.

La prise de température…

Nous sommes à la Formation sanitaire urbaine à base communautaire (Fsucom) de Wassakara dans la commune de Yopougon. Ici, seule la discipline sanitaire  règne en maître. Dans cet établissement de santé,  c’est l’alerte maximale. Personnel de santé, s’active grâce un dispositif mis en place.

Comme ce centre de santé, plusieurs établissements sanitaires à base communautaires ne veulent pas être surpris en cas de présence d’une  personne atteinte du coronavirus. Plus de recréation. Médecins, infirmiers, aides-soignants,  tous  motivés sont prêts à sauver des vies.

À plus quelques kilomètres, toujours dans la commune de Yopougon, nous arrivons  à la formation sanitaire communautaire de Port-Bouët II. Le constat est le même.

…et le lavage des mains sont obligatoires avant d’accéder aux salles de consultation

À côté de cela, les établissements  sanitaires à base communautaires disposent  des lits, et  d’une salle d’isolement au cas  où la personne est déclaré positive  du covid 19. À cela s’ajoute  la disponibilité du  personnel. Bonne initiative et  Bonne volonté, mais que  de difficultés.

Dans le district d’Abidjan, ce sont 37 établissements sanitaires à base communautaire engagés  à contribuer à aider le gouvernement ivoirien dans la lutte contre le coronavirus, qui ne cesse de faire de nombreux décès dans le monde entier.

Krist Diomandé

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