Lobognon Alain Michel répond aux opposants « en mal de publicité » #CI225

Abidjan, le 1-7-15 (lepointsur.com)-« Je ne suis pas à la recherche de gloire après ma sortie du gouvernement. Il est donc, inutile de pervertir mes propos. Mes tweets n’ont pas besoin de grille de lecture pour être compris ». Tel est le propos de M. Lobognon Alain Michel aux opposants politiques ivoiriens qui font de l’ex-ministre ivoirien de la Promotion de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs depuis le 1er juin 2011, limogé par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan sur demande du Président de la République le 13 mai 2015, suite à l’affaire des primes détournées de la CAN 2015, « leur porte-parole » à travers les réseaux sociaux.

« Inutile de travestir donc mes écrits,» martèle Lobognon Alain Michel, député-maire de la Fresco #CIV

« Inutile de travestir donc mes écrits,» martèle Lobognon Alain Michel, député-maire de la Fresco. Non sans menacer les opposants politiques ivoiriens en « mal de publicité ». « Pour une fois, je ne mange pas de repas à la sauce de l’ivoirité. J’ai toujours été opposé à ce débat. Je demeure opposé. Jamais je ne militerai pour l’ivoirité. C’est pourquoi, je reste digne dans mon combat politique ». Pour conclure, le proche de Guillaume Soro, a demandé à ces détracteurs de relayer le tweet suivant : « Alassane Ouatara est un ivoirien né de parents ivoiriens, eux-mêmes nés de parents ivoiriens». Aussi, a-t-il joint la pièce suivante pour conclure : « A l’ occasion de vos meetings et du dépôt des dossiers de candidature à la Présidentielle 2015, citez mon tweet précédent».

« Quand on est inéligible, on ne se mêle pas des affaires d’un pays dont on n’est pas citoyen,» tweetait Lobognon le 19 juin 2015. Il n’en fallait pas plus pour que certains opposants de la politique ivoirienne, notamment la présidente de l’Union Républicaine pour la Démocratie (URD), Danielle Bonie Claverie saute le tweet au cours d’une conférence de presse. « Mes tweets d’hier ont été  récupérés et pervertis par des pêcheurs en eaux troubles, » a interpellé Alain Lobognon.

Sériba Koné

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