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Le partage des expériences des participants et des travaux de groupe au menu # SRHR


Lusaka, le 1er juillet 2015(lepointsur.com)-Les assises du dialogue des parties prenantes sur les politiques de réalisation de la santé sexuelle et reproductive et des droits y afférents se poursuivent  avec  les  présentations de participants de différentes structures et organisations spécialisées sur les questions relatives à la santé et à la reproduction.

Dialogue des parties prenantes sur la SDSR: Le  partage des expériences  des participants et des travaux de groupe au menu # SRHR

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Une vue des participants (Ph:O.B)

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Une vue du tableau de la faible performance des indicateurs

Différents exposés,  dont celui du Dr Martin Migombano ont meublé  la journée. En effet, dans son exposé sur la santé sexuelle dans les cas d’urgences, il a levé un coin de voile sur les mouvements de guerre notamment la  guerre du Biafra, la crise humanitaire, le génocide du Rwanda  et les  multiples conflits en Afrique. Qui, a l’en croire ‘’ occasionnent la création de camps’’.Sur la question, le   a recommandé la sensibilisation et le financement des organisations, de sorte à protéger les jeunes. Plusieurs contributions des participants,  notamment  l’annonce du Sommet des Premières Dames sur la question des droits ont enrichi la session. A sa suite, Mme Fatuma, de IGAD Heath programs a réaffirmé l’engagement de sa structure à s’intéresser davantage à la santé des femmes et des enfants. Les crimes contre l’humanité, les problèmes de malnutrition, d’anémie dans les zones rurales, les mariages précoces, les conséquences de la guerre, l’absence d’éducation sexuelle, les problèmes de ressources humaines…sont entre autres préoccupations qu’elle a révélées. ‘’Il faut réduire la mortalité infantile ‘’ dira t elle. Avant de  souligner « nous  n’avons pas les mêmes réalités ». Mieux, elle a insiste sur les disparités entre les Etats membres. Mme Isabelle BOUKINDA et Jean Claude LOUKAKA de la CEEAC  ont quant a eux  mis en exergue la faible  autonomisation économique et politique des femmes, la faible performance  des indicateurs, la disparité dans les Etats membres au niveau des textes législatifs relatifs au genre et sante de la reproduction. Ce, en s’appuyant sur des  pourcentages  pour étayer. La journée de mercredi a permis aux parlementaires des pays de la Zambie, du Cap Vert. De l’Ouganda et d autres parties prenantes de IPPFRA AM’S, RHANA de donner leurs avis sur les  défis et opportunités lies a la mise en œuvre et a la domestication. Les assises prendront fin jeudi 02 juillet 2015, par la restitution des travaux et la présentation et adoption du produit révisé.

Opportune Bath, envoyée spéciale à Lusaka (Zambie)

 

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