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Lady Gaga violée à 19 ans ? L’artiste l’avoue à demi-mot


Dans une longue interview accordée à Howard Stern hier, Lady Gaga avoue à demi-mot avoir été abusée sexuellement à l’âge de 19 ans. Un choc dont elle tente de se libérer.

L’exubérance de Lady Gaga n’était pas de mise hier, sur le plateau d’Howard Stern. Entre deux performances, la chanteuse s’est livrée à l’inévitable interview vérité du journaliste trash. Suite à des aveux de dépression sur une scène de Londres fin octobre lors du ARTPOPtour, l’animateur a tenu à creuser un peu plus loin dans la thérapie : « Avez-vous été violée par votre producteur ? » Une première salve qui reste sans réponse. Mais Stern insiste : « Quand vous parlez de dépression et de tristesse, de viol, de producteurs qui vous ont fait des choses. Vous donnez l’impression que vous avez été agressée. C’est ce qu’il vous est arrivé ? » Une insistance qui finit par payer : « Vous savez, j’ai vécu des moments terrifiant, confie Gaga. Aujourd’hui, je suis capable de rire parce que j’ai suivi de nombreuses thérapies depuis des années.. (…) J’avais 19 ans, j’allais dans une école catholique et puis toutes ces choses complètement folles me sont tombées dessus et je me demandais : Alors, c’est comme ça d’être adulte ? »

Pas certain de comprendre où l’artiste voulait en venir, Howard Stern persiste dans ses interrogations, demandant carrément pourquoi elle n’avait pas porté plainte à l’époque : « Etait-ce par peur de la réaction de votre père ? » Refusant de répondre à cette question, Gaga élude : « C’est très effrayant, et triste. Mais aujourd’hui ça ne m’affecte plus autant qu’il y a 4 ou 5 ans. Ça a tellement été difficile pour moi. J’étais traumatisée et je voulais juste avancer. Je devais seulement m’en sortir. » Des confidences à demi-mot qui se transforment en aveux lorsque la popstar finit par parler directement de son agresseur : « Je l’ai revu une fois dans un magasin, et j’ai été figée par la peur ». Effrayée à l’idée de n’être « défi­nie que par ça » Gaga conclue en insis­tant sur l’ef­fet salva­teur de ses tubes : « Ma musique m’a sauvée ! » 

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