Insécurité : Les « microbes », la plaie du pouvoir Ouattara

Les « microbes » ont encore sévit le weekend dernier dans un maquis de yopougon Sicogi, non loin de la Pmi. Comme un ouragan, ces gangsters ont dépouillé d’honnêtes personnes et emporté tout sur leur passage : Argent, téléphones portables etc.

Laissant après leur forfait, une population apeurée. Fait tout de même aberrant, l’on se souvient que le ministère en charge de la sécurité avait annoncé l’arrestation de 120 « microbes » et dit sa ferme volonté d’éradiquer ce fléau.

Mais ces parasites qui entendent en découdre avec l’actuel pouvoir, ont touché comme pour narguer les autorités ivoiriennes, là où ça fait mal. Et même très mal.

L’on dénombre plusieurs victimes dont un mort. Face à l’impuissance des autorités, les populations ne savent plus à quel saint se vouer.

A près analyse, l’on peut affirmer qu’à l’instar des « microbes » de Ouattara, Bédié et Gbagbo avaient les leurs. Respectivement les « Loubards » et les « Fecistes. » Tous avaient presque le même mode opératoire.

Agressions à l’arme blanche et à l’arme à feu, viols, vols…dans l’impunité totale. La seule différence est que les « microbes » sont pour la plupart, des jeunes ‘’importer’’ dans des pays frères au plus fort de la crise postélectorale.

Ces derniers ayant combattu aux côtés du pouvoir actuel réclameraient leur part de gâteau pour vivre. Ce phénomène semble ainsi irréversible car de sources concordantes, des chefs de guerre seraient les commanditaires de ces actes.

Face à la ‘’démission’’ du gouvernement à assurer la sécurité de ces concitoyens, l’ultime solution des populations est de prendre en mains leur propre destinée.

Opportune Bath