Le débat fait rage depuis que nous avons eu un soutien de taille avec l’Italie.
Le f cfa, c’est la colonisation qui perdure.
Le f cfa nous appauvrit. 
Le f cfa nous empêche de nous développer…
Vraiment, les Français ont foutaise quoi ! Il est temps que nous frappions notre propre monnaie. Quand même ! 59 ans que nous sommes indépendants ! Nous devons fabriquer notre propre monnaie avec nos propres machines, nos propres appareils. On ne peut pas fabriquer notre monnaie en France, pas dans les autres pays européens. Sinon, ces Blancs vont profiter pour nous voler encore. On ne peut pas non plus fabriquer notre monnaie en Chine, encore moins en Amérique du Nord. Nous-mêmes avec nos appareils fabriqués par nous- mêmes.
Puis nous allons chasser la langue française. Elle nous aliène. Désormais, nous allons enseigner dans nos propres langues. Plus de français ni anglais. Nous n’allons plus non plus utiliser leurs téléphones, Internet et leurs chaînes de télévision. Nous allons enlever toutes les paraboles de Bolloré . Sinon à travers ces outils, ils détournent tout ce que nos nombreux chercheurs (actuellement fâchés) trouvent. D’ailleurs même, nous ne porterons plus leurs toges noires et blanches, vertes et blanches, ni leurs vestes. Tout ça nous encombre. Nous n’allons pas non plus utiliser leurs voitures et leurs avions. Avec nos chercheurs et leurs nombreuses découvertes, nous allons fabriquer nous-mêmes nos moyens de locomotion.
BANDE de NÈGRES PLAISANTINS ! Vous n’avez pas 5 francs dans vos comptes comme moi ici, vous n’avez jamais posé une brique quelque part, vous êtes les premiers à démontrer aux autres que le f cfa est la cause de votre misère. Dès que certains tombent sur les inepties de certains théoriciens vendeurs de rêves, ils bondissent dehors pour jubiler oubliant même leur dessous .
Et pourtant, vous voyez que les pays qui disposent de leur propre monnaie envahissent chaque jour votre pays.
Ni francefaphile , ni francefaphobe, je pense que l’émancipation de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique réside dans notre ardeur au travail, dans notre ingéniosité. Le reste n’est que mirage et verbiage, à commencer par ce débat qui nous détourne de nos véritables préoccupations.

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