Abidjan, 06-07-2017 (lepointsur.com) Jeudi 06 juillet 2017, au cours d’un atelier à l’Etat-major des Forces Armées de Côte d’Ivoire, à Abidjan-Plateau, le mécanisme  CNDHCI / FACI  de suivi des cas de violation des droits de l’Homme par les militaires, a dressé  son bilan à mi-parcours. Ce, après plus de 18 mois de fonctionnement.

A l’occasion, Namizata Sangaré, présidente de la Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire, s’est prononcée sur cette collaboration : ‘’L’activité qui nous réunit ce matin, permettra de marquer un arrêt, de jeter un regard rétrospectif sur le chemin parcouru, de sorte à en tirer des enseignements afin de procéder à une programmation judicieuse des actions à venir. L’un des plus grands défis du mécanisme, celui de sa pérennisation, appelle que nous continuions de travailler avec toujours autant de rigueur et de confiance entre la CNDHCI et la grande muette afin que de nouveaux challenges tels que le renforcement de l’outil, l’internationalisation de l’expérience et bien d’autres soient relevés’’, a-t-elle commenté.

Diaby Bakari, coordonnateur dudit projet, a quant lui, fait le point des acquis du mécanisme. Dans la foulée,  il a justifié la tenue de cet atelier qui vise, entre autres, à adopter un rapport d’activités 2016 du mécanisme, et à identifier les perspectives à travers la conception et l’adoption du plan d’action 2017-2018.

Opportune Bath

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