Abidjan, 10-08-2020 (lepointsur.com) Le premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko a échangé avec des patrons et anciens patrons du secteur de la presse, le samedi 8 août 2020, à son domicile sise à la Riviera, dans la commune de Cocody.

Composée du collectif des anciens de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), des responsables d’organisation professionnelle de la presse et d’entreprises de presse, des anciens collaborateurs au journal le Patriote et à radio Nostalgie, la délégation a été reçue aux environs de 19 heures, après une audience avec des acteurs du monde culturel, dont Asalfo, Victor Yapobi et Molaré.

Prenant la parole, les différents intervenants ont à tour de rôle, exprimé leurs félicitations au Premier ministre, Hamed Bakayoko et ont dit leur fierté de voir un des leurs nommés à la tête du gouvernement ivoirien.

Aussi, au nom des responsables des organisations professionnelles des médias présentes, le secrétaire général du syndicat national des professionnels de la presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), Guillaume Gbato a profité de la circonstance particulière pour formuler l’espoir que la nomination d’un homme de communication à la tête du gouvernement, va aider à faire avancer fortement la cause des médias et des journalistes de Côte d’Ivoire.

Heureux de cette visite de courtoisie des patrons et ex-patrons du secteur de la presse, dont certains sont ses anciens collaborateurs, le Premier ministre Hamed Bakayoko a exprimé sa joie en ces termes. « Je suis très touché de voir que les anciens de l’UNJCI, les chefs de différentes faitières du métier de la presse, les anciens du journal le Patriote et de Nostalgie se mettent ensemble pour me porter ce message de solidarité et de soutien », s’est-il exprimé.

Et d’ajouter : « Une visite comme celle-là vous fait réaliser ce que vous représentez et ce que vous portez comme espérance ».

Poursuivant dans la même lancée, celui qu’on appelle affectueusement le “Golden Boy’’ va inviter ses hôtes du jour à contribuer, à travers leur rôle, à la préservation de la paix et la stabilité du pays, surtout au moment où la nation traverse une période très sensible.

« Je compte sur vous, parce que vous êtes le baromètre des expressions de la société. Si le pays va bien selon les politiques, et que trois ou quatre journaux écrivent que le pays va mal, cela peut donner le sentiment qu’effectivement le pays va mal et peut provoquer des tensions » les a-t-il exhortés, tout en les rassurant de son implication dans la résolution des difficultés de la presse ivoirienne.

Georges Kouamé

Commentaires

commentaires