Abidjan, 06-01-2021 (lepointsur.com) À Barthelemy Zouzoua Inabo : Il faut se rendre à l’évidence. Le patron du Sénat ivoirien n’était pas un malade imaginaire, comme certains dans sa famille politique ont pu le croire ou le dire. Pour eux, l’homme s’était éloigné d’Abidjan pour éviter de prendre partie dans la bagarre fratricide entre les alliés du Golf 2011, « le grand-frère et le petit frère » au mois d’octobre 2020. Beaucoup le moquaient même ! Surtout après son silence assourdissant pendant les moments de tension et son message de soutien à ton camarade après les résultats de la présidentielle.

JAK est toujours en convalescence à Berlin en Allemagne. À défaut d’une communication officielle de sa structure, nous avons pu glaner ici et là, quelques informations sur son état de santé. Il va beaucoup mieux. « Retour prévu en janvier ou en février 2021 », des sources proches du Sénat, sans aucune précision.

Le président du Sénat est allé en Allemagne début juillet 2020, pour un contrôle sanitaire. Selon nos informations, il avait senti un malaise au cours d’une session au Sénat, mais sans gravité apparente. En Allemagne, ses services ont annoncé son test positif à la Covid-19. Il y a été pris en charge. Et depuis sept (7) mois, il y séjourne. À en croire un de ses proches, « il a été soigné et guéri du Covid-19, puis des examens complémentaires ont été faits. Maintenant lui il pense qu’il a été empoisonné ». Souhaitons-lui prompt rétablissement et bon retour parmi nous.

“ Pendant ce temps, « les FPI » se parlent, se rencontrent. « Les Gors chez Affi ». Solidarité de frères ou d’anciens frères. Après la libération du député de Bongouanou. « C’est du jamais vu, sinon c’est impensable. Mais pour ne pas les amener à se rétracter, on n’en parle pas jusqu’à l’effectivité́ de la rencontre », lance un quiconque introduit. La rencontre a eu lieu ce lundi 4 janvier 2021. ‘’

Son retour au pays est annoncé au moment où les officines politiques se mettent en branle pour les élections législatives. Pour l’instant, la bataille est interne aux partis politiques, au niveau du choix des candidats. « Le grand bazar », selon un cadre du Rassemblement de ton Camarade. Tout le monde veut être candidat. Là-bas, pour faire acte de candidature, il faut s’acquitter de la somme de 500.000 FCFA. Et ceux qui paient, viennent exposer les reçus sur les réseaux sociaux. Communication politique ou dématérialisation du jeu politique ? L’essentiel, les réseaux sociaux sont au cœur du dispositif.

Les femmes ne sont pas en reste. Elles sont décidées cette fois à tenir le quota de représentation imposé par la loi. Au moins 30% de postes. Elles ont demandé à Kandia de Gbon de porter leurs messages et leurs dossiers au sommet. Selon un observateur politique, Kandia de Gbon elle-même « n’a pas cœur d’aller à Gbon. Petit Alpha Yaya est là-bas ». Pas plus, selon un autre, qu’elle n’a pas cœur d’aller à Cocody… « Elle ne prendra pas le risque surtout qu’elle lorgne la présidence de l’Assemblée nationale. Abobo est mieux. »

Pendant ce temps, « les FPI » se parlent, se rencontrent. « Les Gors chez Affi ». Solidarité de frères ou d’anciens frères. Après la libération du député de Bongouanou. « C’est du jamais vu, sinon c’est impensable. Mais pour ne pas les amener à se rétracter, on n’en parle pas jusqu’à l’effectivité́ de la rencontre », lance un quiconque introduit. La rencontre a eu lieu ce lundi 4 janvier 2021. Sans présager de la suite, pour beaucoup, dans les cercles de l’ancien parti au pouvoir, « c’est le début d’une nouvelle ère ».

Mon coup de gueule, ces élèves d’Adiaké !!! J’espère qu’ils sont redevenus sages pour reprendre tranquillement les cours ! Ça suffit dans ce pays. Les apprenants doivent le savoir, le futur du pays, ce sont eux ! Le futur ne s’accommodera pas de la formation au rabais ! La compétition sera encore plus âpre qu’elle ne l’est aujourd’hui. Il faut respecter l’Ecole !

Fernand Dédeh

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