‘’Aujourd’hui, les élites, oui les pures et les vraies, se détournent de la politique, perçue comme un repoussoir’’ (Par Pascal Roy)

La politique a longtemps attiré les plus ambitieux et les plus talentueux, passés par les grandes écoles et les universités. Mais aujourd’hui, les élites, oui les pures et les vraies, se détournent de la politique, perçue comme un repoussoir.

Les grands partis ont besoin de retrouver des idées, des hommes porteurs de valeurs pour formuler de nouveaux projets ambitieux.

‘’Je suis pour le renouvellement générationnel, pas pour l’appauvrissement moral, éthique et intellectuel du personnel politique. Il s’agit de trouver le bon équilibre. Il faut éviter de créer une sorte d’acné dans la manière d’exercer la politique et déparer son charme millénaire.’’

Il nous faut éviter que la politique devienne une occupation d’amateurs et de chercheurs d’horizons, la loge des conservatismes totémiques et de la novlangue fétichiste. Disons non à la dégradation de la politique, à la dénaturation de ses visées et à l’évanouissement de son essence !

‘’Travaillons à encourager, susciter et promouvoir des figures hors partis politiques ! Car, on est en droit d’attendre des responsables politiques, un peu moins de nullité à court terme pour plus de résultats à long terme.’’

Je suis pour le renouvellement générationnel, pas pour l’appauvrissement moral, éthique et intellectuel du personnel politique. Il s’agit de trouver le bon équilibre. Il faut éviter de créer une sorte d’acné dans la manière d’exercer la politique et déparer son charme millénaire.

Travaillons à encourager, susciter et promouvoir des figures hors partis politiques ! Car, on est en droit d’attendre des responsables politiques, un peu moins de nullité à court terme pour plus de résultats à long terme.

Ne soyons ni obstinés dans le maintien de ce qui s’écroule, ni trop pressés dans l’établissement de ce qui semble s’annoncer, pour parodier Benjamin Constant de Rebecque.

Ce monde nous précède et nous suit. Il continuera donc d’exister sans nous.

L’esprit doit rester un cabinet de travail !

Pascal R.

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