Après 42 ans d’expériences avec les Elohim : Les Raëliens proposent un monde harmonieux #Raël

Les fidèles raëliens n’ont pas voulu rester en marge de la commémoration des 42 ans de rencontre entre le prophète Raël et les Elohim. (Ph: Le Point Sur)

CIV lepointsur.com (Abidjan, le 14-12-2015) La commémoration des 42 ans de la première rencontre du prophète Raël avec les Elohim a donné lieu à une grande rencontre à l’hôtel Epson à la Riviera II dans la commune de Cocody. Occasion pour les raëliens ivoiriens de revenir sur les nombreuses prophéties de Raël pour l’équilibre de l’humanité.

L’honneur est revenu au Guide-prêtre Karim Ouattara de se prononcer sur le thème ‘’Paradisme : Mouvement raëlien pour un monde meilleur’’. Selon lui, depuis la première rencontre du prophète avec ceux que les raëliens qualifient de créateurs des hommes, le 13 décembre 1973, la marche de l’humanité a connu un progrès notable.

Au nombre de ces progrès, la grande évolution des technologies qui, selon le conférencier, a fortement contribué  au recul de la mort. En effet, Karim Ouattara a rappelé que grâce au clonage,  les hommes parviennent à dompter la mort. Expliquant cette technologie, le Guide-prêtre a indiqué qu’elle permet de se recréer à travers une reproduction à l’identique. Ainsi, grâce à cette technologie, il soutient que les différentes étapes du clonage permettent à l’homme d’atteindre la dimension de « ses créateurs, les Elohim ».

« L’avantage du clonage est de recréer la vie éternelle sur la terre », insiste le Guide-prêtre pour qui, face à l’échec du socialisme et surtout du capitalisme qui, malheureusement n’arrête pas de creuser le fossé entre les riches et les moins nantis, l’alternative pour l’émergence de l’humanité reste le « paradisme ». Système grâce auquel,  Karim Ouattara soutient que « les hommes arriveront à faire face aux problèmes  d’éducation, de santé, de logements et de loisirs » qui, pour lui, semblent seulement réservés aux riches.

Pour le Guide raëlien, seul le « paradisme » pourra trouver une solution à des questions de déséquilibre notamment relevé en 2014 par Oxfam, selon lequel seulement 1% de la population mondiale détient 50% de la richesse du monde. « Il aurait fallu un juste partage de l’alimentation, dans le cadre du « paradisme », pour qu’une partie de l’humanité ne souffre pas de surpoids pendant que l’autre partie souffre de malnutrition », a-t-il souhaité.

Idrissa Konaté

Commentaires

commentaires